ASDE 053 Axelle

 

Il n’est point besoin de se déplacer…

pour me trouver

 

Jeudi 14 novembre 2002

 

Ecoute petite enfant, écoute bien ce que je vais te dire et transmets-le : Plus l’âme me cherche, plus elle s’approche de moi, plus je lui deviens nécessaire et plus je lui imprime « mon désir » en son cœur. Souvent, elle n’en est pas consciente, et celui est une cause de souffrance inutile !

 

Elle cherche ma volonté, elle me cherche comme si je lui étais extérieur. Telle n’est pas la vérité. La vérité est que Je suis, et qu’il n’est point besoin de se déplacer, pas plus physiquement que mentalement, pour me trouver. Il s’agit de se situer et d’abord de se décider, de poser l’acte de foi qui consiste à se mettre en ma présence. Alors s’opère comme une concentration des facultés sur cet acte d’hommage. Cette « décision » est du ressort de la liberté humaine, et plus la conscience s’en avise, plus l’acte posé produit un effet puissant.

 

JE SUIS, Je suis là, toujours.

En moi espace et temps s’unissent.

De même, en moi toutes tensions, tous paradoxes

S’apaisent et s’éclairent.

 

Celui qui me cherche m’a déjà trouvé. Qu’il cesse donc de s’agiter, qu’il cesse de tourner en rond, qu’il se réjouisse en Dieu son créateur, qu’il se laisse immerger en cette source chaude où la paix règne. Dieu suffit en tout et pour tout. Sa toute puissance opère pour faire tout concourir à l’accomplissement de sa volonté qui est bonne. Sa patience infinie laisse à chaque aime le temps, tout le temps pour trouver, dès lors qu’elle est orientée vers Lui.

 

Que chacun se plonge en moi, pour comprendre combien le souci est vain, car de chacun je prends soin. La souffrance même est joie pour celui qui se repose en moi. J’appelle mon bien-aimé à ne plus lutter, à ne plus me chercher à l’extérieur de lui-même : Je suis là. Lumière éternelle au cœur même de son corps périssable… Viens à moi maintenant, rejoins-moi en disant :

 

« Jésus, tu es là en moi,

Je veux t’adorer, m’unir à ta volonté qui n’est qu’amour ! »

 

Ainsi tout est transfiguré par un « instant » de vérité. Allez, ne craignez pas, réjouissez-vous car je viens par toute la terre, en chaque cœur qui appelle mon règne. Jour d’allégresse et jour de joie quand j’étends la main sur toi ! Voici ma tendresse. Reçois-là ! Voici ma paix sur toi !

 

Jésus, ton Roi

 

 

Conseils du Père Eternel !

 

11 août 2001

Alors, écoute, mon enfant. Tu as choisi la meilleure part ; comme à Marie Madeleine, elle ne te sera pas retirée. Ne perds pas de temps à examiner ceci ou cela, à droite ou à gauche alors que ton cœur a déjà trouvé l’essentiel, Dieu, ton Dieu !

 

          Reste près de moi, et obéis encore plus docilement

          Offre-toi, prie sans cesse

          Communie à mon corps chaque jour

          Prends des temps d’oraison pour que j’emplisse ton cœur de tous mes dons

          Rayonne simplement

          Tais-toi le plus possible

          Aime et bénis chacun également

          Epanche en mon cœur toutes tes plaintes

          Ne te plains plus jamais auprès des autres

          Laisse-moi te guider et te façonner comme je l’entends

          N’entreprends rien sans m’en parler

          Garde mes commandements

 

Allons, enfant ! Je te promets de te partager mes trésors dans cette vie déjà. Enfant choisie, reçois ma bénédiction. Je te bénis en toutes tes actions et dans tous tes enfants… tant que tu restes mienne. Sois en paix. Amshe lamen amsha et tin alewen shanen.

 

Ton Père Eternel qui t’aime.

 

 

Avant tout prie…

l’agitation ne vient pas de moi

 

Vendredi 17 août 2001

 

Seigneur, ce soir je viens me déposer en ton Cœur. Voici la rentrée et je ne me fais pas confiance ! Pourquoi arriverais-je cette année à mieux organiser ma vie ? Le découragement me guette avant le combat !

 

Seigneur, pardonne-moi, je sais bien qu’en toi tout m’est possible ! Alors, viens régner dans mon pauvre cœur ! Viens m’instruire et me guider. Que dois-je faire, dire, entreprendre ? Parle, Seigneur !

 

Aujourd’hui, je t’ai attendue, enfant ! Pourquoi laisses-tu parfois l’agitation te gagner, sans la considérer en soi, et discerner à coup sûr, qu’elle ne vient pas de moi ? La lecture des Psaumes, loin de t’apaiser attisait ton malaise. Enfant, ton dos qui te fait souffrir reflète simplement cet écartèlement !

 

Donne-moi toujours du temps chaque jour, avant tout ! Je suis Jésus qui t’aime, et qui désire que tu sois unifiée en moi… dans l’amour. Respecter son corps et ses besoins n’est pas se plaindre, ni paresser. Mais, m’offrir les souffrances, dues à ce besoin qui t’habite de me rejoindre, que tu n’as pas satisfait, est trop compliqué ! Viens, ma toute petite, reprenons :

 

Avant toute activité, prie-moi dès le matin pour ancrer ton cœur ce jour-là en moi… Ainsi tu demeuras en ma présence. La tentation est grande de commencer de mille autres façons. Tu es happée par tant d’obligations. Pourtant, ce temps t’arrive en moi et me permet de te préparer pour cette journée-là…

 

Une fois que tu as commencé ta journée, c’est trop tard pour me donner la première place ! Un petit bonjour à la va-vite ne suffit pas à bien établir notre relation. Le comprends-tu ? Veux-tu bien essayer encore ?

 

Oui, Jésus, avec ton aide je sens que j’y arriverai. Je vais faire un tableau et cocher… ?

 

Agis comme tu l’entends ! Je suis avec toi et je te bénis !

 

 

Te conduire à l’abandon le plus total

Et le plus confiant, loue

 

 

Vendredi 17 août 2001

 

Enfant, relis bien tous mes conseils, et mets toute ton ardeur à les mettre en pratique. Je veux te conduire à l’abandon le plus total et le plus confiant. Je veux faire de ton cœur un palais pour ma JOIE…

Ne te pose aucune question sur demain ! Ne crains pas cette rentrée. Donne-moi simplement la main, ainsi qu’à ta Maman, et avance, chère enfant au rythme de nos pas. En ton cœur notre volonté s’inscrit à la mesure de tes désirs les plus élevés… Chaque instant est grâce… que ta louange doit saluer !

 

Tu sais les grandes lignes de ce qui te sera demandé. Accomplis dans la paix la tâche de chaque jour, sans te laisser troubler par aucune perturbation. Au contraire, jubile et bénis dès lors que tes projets semblent contrariés.

 

Ce que je t’attends de toi en tous temps, et quelles que soient les circonstances, c’est ton acquiescement par une louange souriante. Je veux sentir ton cœurs toujours cherchant le mien avec un même confiance quelles que soient la « lumière » ou bien l’« obscurité ».

 

Je ne te laisserai jamais, mais toi, enfant bénie, prie et intercède avec l’assurance que ta prière est exaucée sans rechercher les « confirmations » !

 

Ne t’appuie que sur moi, tant que ton père spirituel voudra bien m’accorder cette direction. Avant tout, sois obéissante. Alors, relis tout et note, souligne et présente-moi le « programme » que j’ai voulu pour toi. C’est le temps des semailles, enfant, et tu expérimentes ce qu’ensemble vous vivrez. Reste avec moi, enfant. Viens en mon Cœur.

 

Jésus Christ.

 

Les 4 textes sont extraits de « Il est plus que temps d’aimer »

 

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