La noirceur enveloppe la terre (71)
Partie 1
Enseignement donné en l’église du Sacré-Cœur de Jésus
Toulouse (France)
6 juin 2013
Votre Sacré-Cœur de Jésus
Merci d’avoir répondu à mon appel. C’est moi, votre Sacré-Cœur de Jésus, qui viens vous dire le trop plein de mon Cœur. Je vous aime et c’est pour cela que Je viens, avec ma très Sainte Mère, vous préparer, car personne n’est prêt à vivre cet événement unique dans l’histoire de l’humanité.
La noirceur enveloppe la terre. Voyez-vous, mes enfants, la persécution est déjà commencée, elle va s’accentuer, car mon église doit être purifiée et votre foi doit être éprouvée ; n’ayez pas peur, car je suis avec vous. Avec ma très sainte mère, nous serons là pour vous guider, vous montrer le chemin. Ne vous laissez pas distraire. Vous cherchez des nouvelles mais, Moi, Je vous dis : fermez vos oreilles quand vous écoutez des nouvelles, car vous perdez votre paix, votre cœur devient angoissé, vous avez peur, et cela, mes enfants, est un grand empêchement pour que la grâce circule en vos cœurs ; ne vous laissez pas distraire
Je suis le Dieu de l’impossible et Je prends soin de mes enfants de lumière, de ceux qui ont dit oui, oui au père. N’ayez pas peur, et l’Esprit-Saint ets bien agissant en ces temps qui sont les derniers. C’est une ère nouvelle qui commence, qui a commencé, c’est l’ère de l’esprit Saint avec ma mère, car il faut préparer le triomphe du cœur immaculé de Marie.
J’ai besoin de vous pour proclamer la foi, j’ai besoin que vous soyez des témoins de lumière, de la vérité. Il faut que vous rayonniez ma paix, ma joie, cette joie céleste, cette joie qui émane de vos cœurs ardents. Oui, mes enfants, allez au pied du Tabernacle pour puiser les grâces de force, de confiance, d’audace, car il faudra avoir de l’audace pour proclamer ma parole. Ma mère pleure, car elle sait tout ce qui s’en vient ; elle vient vous préparer, vous prendre par la main, car vous êtes à Son école, vous, mon petit reste, les enfants de lumière, les enfants que le père a choisis pour vivre ce temps.
Laissez-vous conduire par l’Esprit Saint, laissez–vous instruire par le trône de la sagesse, ma Mère ; faites–lui confiance, car vous devez devenir comme de petits enfants qui aiment, qui croient en Dieu le père, des enfants qui s’endorment dans ses bras. Le père vous attend, revenez à lui, il faut que vous soyez en état de grâce, car vous ne connaissez pas le moment où je serai devant vous ; je viendrai comme un voleur, au moment où vous l’attendez le moins. Préparez-vous par la prière, par l’adoration et par le sacrement du pardon.
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Je vous demande de méditer mes paroles, mais aussi de les mettre en pratique, car il faut les vivre ; il faut vivre les commandements. En ce moment, un grand nombre de mes enfants ont honte de moi, honte de la croix, honte des commandements de Dieu. Je vois des Judas. Oh ! Qu’il y en a des Judas ! Encore maintenant on me renie, on se moque de moi, ma présence dérange, ma parole est de trop dans le cœur de mes enfants. Je souffre, mon cœur pleure, je vois le cœur de mes enfants ; ils sont peu nombreux ceux qui disent oui, ceux qui m’aiment, qui aiment le Père, qui croient en Lui.
Le Père n’est qu’Amour, Mes enfants, Il vous attend, il guette votre retour, il vous attend les bras ouverts. Et moi, son fils, son Jésus, Je vous attends dans chaque prêtre qui vous donne l’absolution ; c’est moi qui vous accueille, qui vous pardonne, qui prend dans mes bras ma brebis égarée (Mt 18, 12) ; et Je la presse sur mon cœur pour lui dire : confiance, ma petite, voici ce cœur qui a tant aimé le monde, voici ce Cœur qui est aimé, voici ce Cœur qui t’a tout donné, viens, mon enfant, ne crains pas, je suis l’amour et je t’aime. N’ayez pas peur et ne dites pas : « Oh non ! je ne peux pas aller vers ce prêtre, car il me connaît, je ne peux pas lui dire mes fautes ». Non, mes enfants, ce n’est pas la personne du prêtre que vous allez rencontrer, c’est Moi, le Christ, c’est Moi, votre Jésus, votre Sacré-Cœur qui est là, qui vous prend dans Ses bras. N’ayez pas peur, Regardez ce que j’ai fait avec le bon larron ; aussitôt que je l’ai entendu dire : « Jésus, souviens-toi de moi », Je lui ai dit : « aujourd’hui même tu seras avec Moi au Paradis ». Je ne lui ai posé aucune question, Je l’ai accueilli, car j’ai vu son cœur, son cœur aimant rempli d’un grand repentir. Et c’est comme cela que je vous demande de vous préparer avant chaque confession. Préparez–vous en vous recueillant, et ne dites pas : « je n’ai pas de péché », non, mes enfants ; souvenez-vous de ce que Jean, le bien aimé, a dit : « celui qui dit qu’il n’a pas de péché, c’est un menteur ».
Venez vers Moi en toute humilité, en toute confiance, Je saurai vous écouter, vous consoler, vous accueillir comme vous êtes ; et c’est comme cela que vous allez vous préparer à recevoir le roi des rois dans la sainte communion. Allez à la sainte communion avec une grande dévotion, un grand respect, une grande reconnaissance, une grande humilité mais, surtout, avec un grand amour, car je suis amour et j’ai soif. Je viens dans votre cœur, Moi, l’infiniment grand, Je viens, par cette petite hostie, dans votre cœur, mes enfants. Je vous aime, n’ayez pas peur de moi, je ne suis pas exigeant ; ce que je demande, c’est l’amour. Quand on aime quelqu’un en vérité, on ne peut pas lui faire de ma, non, mes enfants, quand on aime, on ne veut plus offenser Dieu ni le prochain. C‘est pour cela que le premier commandement vous dit : « Tu aimeras ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces » et Moi, Je vous dis : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé. (Lc 10, 27)
Le Père vous a donné ses Commandements, ses lois d’Amour, méditez-les, mes enfants, et vous allez trouver la source de l’amour. Les sacrements, je vous les ai donnés par amour, car je vous aime, et c’est par amour que ma Mère vous a donné ce livre, cette œuvre que vous tenez entre vos mains, et qui est d’une simplicité exquise. Le royaume des cieux est pour les petits enfants, pour ceux qui vivent dans le Saint abandon, effacés du monde, rejetés du monde, pour ceux qui ont choisi Dieu et dont le Père fait ses délices, car il dévoile ses mystères d’Amour à ses tout petits. Il n’y a rien de plus beau, mes enfants, qu’un cœur de pauvre, un cœur d’enfants, un cœur pur : c’est un cœur qui ne garde rien pour lui.
Quand les épreuves arrivent, donnez–les moi ; les maladies, les soucis, toutes vos misères, donnez–les moi, mes enfants, faites-Moi confiance. La souffrance, vous le savez, c’est un trésor, n’en doutez jamais. Regardez-moi sur la Croix : par ma mort atroce, J’ai opéré votre Rédemption. Je ne veux pas dire que vous allez souffrir ma passion, non, c’est Moi qui ai payé le prix, c’est Moi qui ai pris tous vos péchés, tous les péchés de l’humanité, pour vous racheter. N’ayez pas peur, car je vous aime et jamais je ne vous demanderai au–delà de vos forces. Je veux vous dire : n’ayez pas peur d’accueillir la souffrance, accueille–la avec amour et donnez-la Moi, et vous verrez comment vous supporterez tout allègrement, car c’est moi qui prendrait vos fardeaux.
Venez à moi, suivez-moi, ne vous éparpillez pas, restez unis. J’ai besoin de vos groupes de prière, de vos cénacles ; le monde a besoin de vous, mes enfants, et je compte sur vous. Je vous fais confiance et Je vous remercie. Je bénis ces âmes généreuses qui sont là dans chaque groupe de prière. Je bénis ces âmes généreuses qui sont là dans chaque groupe de prière virgule dans chaque cénacle, merci, mes enfants. Ne craignez pas, vous n’êtes pas seul, ne craignez pas l’adversaire ; la tempête, l’orage, non, mes enfants, je vous ai tout donné et ma mère vous apprend ce qu’il faut faire ; lisez ce message, vivez-les, elle vous donne la paix, Elle vous révèle les pas à faire, comment les faire.
Poser des gestes, relevez-vous et agissez, car la foi doit être une foi absolue ; il faut que vous posiez des gestes, sinon ce sera une foi morte. Croyez à la bonne nouvelle, elle vous apprend à tout attendre de votre Père (Mc 1, 15). Lisez l’exode, voyez comment le père a pris soin de ses enfants : c’est Lui qui les a nourris, qui leur a donné à boire, les a guidés jour et nuit. Alors, pourquoi avoir peur du lendemain ? A chaque jour suffit sa peine ; vivez votre aujourd’hui, ne vous faites pas de souci pour le lendemain, il est sous la Providence de mon Père. Il ne faut pas s’inquiéter, mes enfants, faites–nous confiance, croyez à la Providence. Le père a posé sa main toute puissante sur chacun de vous, car vous êtes son peuple choisi, son peuple élu, mes enfants ; il vous aime, Il vous a appelés un à un, car vous êtes des enfants uniques, les enfants de Dieu.
A suivre
Extrait du volume 3 de Sulema (pages 117 à 133) : Je viens vous préparer à cet évènement : L’illumination des consciences