Votre Sacré-Cœur de Jésus
20 juin 2013
Enseignement donné à l’église Saint Denys de la Chapelle, Paris
64. Lorsque mon fils Benoît XVI a donné sa démission,
à cet instant même a commencé une nouvelle étape :
c’est le temps de l’accomplissement des prophéties.
Merci d’être présent ici cet après-midi. Je vous attendais. Moi, votre Sacré-Cœur de Jésus, qui vient vous dire : confiance, mes enfants, Je suis avec vous, j’aime cette terre, La France, c’est ma fille aînée, ma fille bien aimée. Ne vous découragez pas, ma mère est présente parmi vous, ne vous laissez pas décourager.
Vous savez, mes enfants, lorsque mon fils Benoît XVI a donné sa démission, à cet instant même a commencé une nouvelle étape, celle de l’accomplissement des prophéties ; tout doit s’accomplir, n’ayez pas peur. Voilà pourquoi le Père a confié cette œuvre à ma très sainte mère, l’Immaculée Conception, pour vous préparer, mes amours, car il faut que vous soyez dans la paix.
Ma mère apparaît comme Marie, Reine de la paix, car c’est dans la paix que vous devez vous préparer. La peur ne vient pas de moi, la curiosité ne vient pas de moi, il faut vous préparer par la prière et par l’adoration : c’est par l’adoration que vous allez recevoir la force, les grâces pour continuer sur le bon chemin. Il faut me suivre, mes enfants, ne me devancez pas. Je suis la tête et vous êtes le corps du Christ, alors laissez-moi vous guider, car je suis le Chemin.
Ma mère vient vous préparer, vous apprendre à vivre comme des enfants qui aiment le Père. Mon père a posé sa main de protection sur chacun de vous, mais aussi sur chacun de ceux que vous portez dans votre cœur. Soyez généreux, priez pour tous vos frères et vos sœurs du monde entier ; mon père sait ce dont vous avez besoin, faites-Lui confiance.
Vous êtes entrés dans les derniers temps ; attention, mes enfants, ce n’est pas la fin du monde, c’est la fin d’un temps, d’une ère, car ce qui est à votre porte, c’est l’ère de la paix. Mais pour vivre dans cette Nouvelle Terre, il faut que la terre soit purifiée, il faut que votre cœur soit purifié, que votre corps soit purifié, mes enfants. Voilà pourquoi ma mère vous envoie ce bijou ; ce livre est un bijou pour vous apprendre, comme à des petits enfants, à vous préparer au jour le jour dans la paix, dans l’amour et dans la louange.
Garder confiance : si vous êtes tristes, louez, mes enfants ! Si vous êtes fatigués, angoissés, louez ! Il faut louer, il faut découvrir la puissance de la louange. Un cœur qui chante attire l’Esprit-Saint et où est l’Esprit-Saint, le Père et Moi nous sommes là, et ma Mère est avec nous. Voilà l’importance de la louange. Il faut adorer ; c’est par l’adoration que je peux, dans le silence, vous instruire, renouveler vos forces, vous donnez le courage et l’audace : l’audace pour parler, pour proclamer la bonne nouvelle.
Oh, mes enfants ! Que Je suis dans la joie de vous voir ici et Je vous dis : venez à moi vous qui avez faim, vous qui avez soif, venez comme vous êtes, Je vous aime, n’en doutez jamais. Regarde-Moi sur la Croix, Je vous ai tout donné, jusqu’à la dernière goutte de mon Précieux Sang, et Je vous ai donné ma Mère, ma Mère ! Prenez la chez vous, elle vous fera chanter son magnificat.
N’ayez pas peur pour l’avenir, Je le répète, il faut que tout soit purifié pour mon retour prochain. Je veux vous dire de faire attention, n’allez pas le croire quand on vous dira : Jésus est là, Jésus est vivant, Jésus est ici, Jésus est par là. Non, mes enfants, mon retour prochain c’est dans la Gloire et c’est dans votre cœur, par le triomphe du Cœur Immaculé de ma très Sainte Mère. Ce que vous allez vivre bientôt, oui bientôt, c’est l’Illumination des consciences. Vous allez vous voir avec mon regard, comme Je vous vois, et à ce moment vous serez dans la joie si vous êtes en état de grâce.
Ma Mère vous demande de prier pour les incroyants, pour ceux qui sont loin de moi, loin d’elle. Priez, car c’est grâce à votre prière au moment de l’avertissement que ceux qui ne sont pas en état de grâce vont revenir à Moi. Ce sera différent pour ceux qui sont en état de grâce, ils vont vivre l’illumination des consciences, ce sera la joie. Mais pour les autres, ce sera l’horreur, la peur, car ils ne seront pas en état de grâce ; ils vont comprendre que Dieu existe, que le diable existe, même si aujourd’hui on dit : Non Dieu n’existe pas ! Le démon n’existe pas ! Ça, c’est la plus grande ruse de l’ennemi, mon adversaire, de vous faire croire que le mal n’existe pas. Pourquoi ! Parce qu’en ce moment tout est permis : on se moque des Commandements, de la Loi que mon Père vous a donnée. Mais la loi est inscrite dans votre cœur, mes enfants, nul ne peut dire : Non, je ne le savais pas ! Non, mes enfants, vous avez tous la loi inscrite dans votre cœur, vous connaissez ce qu’est le bien et ce qu’est le mal.
J’aurais voulu vous épargner cette souffrance, car Je suis Amour, Miséricorde, mais Je suis aussi Justice, et Je dois respecter votre volonté et votre liberté. Le moment est arrivé de faire votre choix : oui pour Dieu ou non pour Dieu, oui ou un non. C’est à vous de faire le choix, mais ce choix, mes amours, pour le faire, prenez le temps, réfléchissez, c’est votre vie, votre âme, qui est en péril, et c’est pour l’éternité. Vous êtes sur la terre pour une courte période, vous êtes de passage, votre vraie destination c’est le Ciel, le Royaume des Cieux. C’est votre âme qui est en danger, et c’est pour cela que je vous envoie Mes messagères pour vous réveiller et vous dire : attention il n’y a plus de temps, le temps presse, profitez des derniers moments de la Miséricorde, de ce temps de Grâce.
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Actuellement, on croit, on vous fait croire que l’Eglise va à sa destruction, qu’elle va mourir, mais je vous dis : Non, mes enfants ! Il faut qu’elle soit aussi purifiée, mais elle ne mourra pas, car Je serai avec elle ; il faut qu’elle soit purifiée pour qu’elle devienne sainte, humble et belle.
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Oh, mon Eglise, priez pour votre mère l’Eglise, priez pour vous consacrer, c’est votre devoir ; ne la jugez pas, priez à la place !
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Allez au sacrement du pardon pour vous préparer à recevoir le roi des rois dans votre cœur, avec un grand respect, une grande dévotion, surtout, avec un grand amour. C’est Moi, votre Dieu, qui vient dans votre cœur, l’Infiniment Grand se fait Infiniment Petit dans cette petite hostie. C’est moins, votre Jésus, qui vous aime, qui vous ai choisis, car c’est Moi qui vous ai choisis, c’est moi qui vous ai appelés, un par un, et Je vous aime comme vous êtes ; acceptez-vous comme vous êtes.
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Merci, mes enfants, de vous préparer par ce message de paix et d’espérance. Je vous aime, Je vous bénis. Amen.
Sulema, Vol. 3, L’Illumination des consciences
page 91-95