à Donald J. Trump
L’étrange similitude
Voici une approche très intéressante sur l’action menée par l’ex-président Donald Trump durant son mandat. Qu’est-ce qui a motivé cet homme à entrer en politique ? Pourquoi a-t-il été dès le départ combattu par le monde politique traditionnel des USA ? Pourquoi n’a-t-il pas été supporté davantage par le parti républicain ? Il n’a exercé aucun mandat politique avant d’accéder à la présidence, peut-on devenir président d’une aussi grande nation sans être accepté peu ou prou par l’état profond ?
On peut se poser beaucoup d’autres questions sur cet homme ostracisé par le monde entier alors qu’il est issu, au départ, d’un monde des affaires, où il ne faut pas se faire d’illusions sur son honnêteté sans critique, loin s’en faut. Pour moi, s’il a pu s’imposer, c’est qu’une partie du système ne s’y est pas opposée totalement sinon il lui aurait bien difficile de s’imposer comme il l’a fait. De nombreuses zones d’ombre peuvent en effet demeurer. Il ne s’est nullement opposé à Israël, protégé par les président américains depuis tant d’années. Il a même « joué le jeu » bien longtemps en leur donnant de nombreux gages de sa fidélité. Son entourage politique et familial (son gendre) le montre clairement. Et cependant, qu’est-ce qui empêche Dieu, Maître de toutes choses, de le « saisir » et de se servir de lui pour défendre la cause du Ciel. C’est ce que cet article veut nous montrer.
Sur le plan humain, au vu des résultats finaux de cette élection frauduleuse, le camp du Mal semble l’avoir emporté sans plus pouvoir attendre un renversement de situation. Les mois qui viennent nous montreront ce qu’il en est.
L’auteur de cet article est Charly Buttafuoco, un chrétien catholique de conviction qui met sa plume à contribution pour nous faire réfléchir sur la situation géopolitique, toujours abordée sous l’aspect de la foi, tout autant que sur la spiritualité dont chacun doit être imprégné pour conduire sa vie pour le bien ultime, le Ciel. Il a écrit plusieurs opuscules dont l’un peut être trouvé sur Amazon, « La chute du Soleil ou la septième trompette de l’apocalypse ». Nous aurons l’occasion de revenir dans un futur proche sur sa personne et plus particulièrement sur sa conversion, quand, à 28 ans, le Seigneur est venu le chercher pour devenir un instrument de la diffusion de sa Parole. Il est heureux de voir combien le Seigneur peut agir dans notre vie et transformer une personne pour qu’elle devienne l’un de ses disciples.
L’article étant assez long, nous le diviserons en deux sections, la deuxième partie n’étant pas encore réalisée.
PREMIÈRE PARTIE
Section 1
Nous sommes à la veille de la prise de Babylone par Cyrus, soit en 539 av. J.-C. et, à l’époque, Belschatsar est le roi de Babylone. Voici comment est décrite l’annonce de cette chute par le prophète Daniel :
« Le roi Belschatsar donna un somptueux festin pour les grands du royaume au nombre de mille, et il se mit à boire du vin en leur présence. […]
Soudain on vit apparaître, en face du candélabre, les doigts d’une main d’homme qui se mirent à écrire sur la paroi de la salle du banquet royal. Lorsque le roi vit cette main qui écrivait, il changea de couleur, son esprit se troubla, il fut pris de tremblement, et ses genoux s’entrechoquèrent. […]
Le roi Belschatsar en était épouvanté : son visage changea de couleur, et les grands du royaume furent atterrés. […]
On fit venir Daniel devant le roi, et le roi lui dit : « Es-tu bien Daniel, l’un de ces déportés amenés de Juda par le roi mon père ?
J’ai entendu dire qu’un esprit des dieux réside en toi, et qu’on trouve chez toi une clairvoyance, une intelligence et une sagesse extraordinaires. […]
J’ai entendu dire aussi que tu es capable de donner des interprétations et de résoudre des questions difficiles. Si tu es capable de lire cette inscription et de me l’interpréter, tu seras revêtu de pourpre, tu porteras un collier d’or et tu seras le troisième personnage du royaume. »
Daniel répondit au roi : « Garde tes cadeaux, et offre à d’autres tes présents ! Moi, je lirai au roi l’inscription et je lui en donnerai l’interprétation.
Ô roi, le Dieu Très-Haut avait donné à ton père le roi Nebucadnetsar la royauté, la grandeur, la gloire et la splendeur.
La grandeur qui lui était donnée faisait trembler de crainte devant lui tous les peuples, nations et gens de toutes langues. Il tuait qui il voulait, laissait vivre qui il voulait ; il élevait qui il voulait, abaissait qui il voulait.
Mais lorsque son cœur devint hautain, son esprit dur jusqu’à l’orgueil, il fut jeté à bas de son trône royal, et sa gloire lui fut retirée.
On le chassa d’entre les hommes, son cœur devint comme celui des bêtes ; il demeura avec les ânes sauvages, on le nourrissait d’herbe comme les bœufs ; son corps était trempé par la rosée du ciel, jusqu’au moment où il reconnut que le Dieu Très-Haut est maître du royaume des hommes et place à sa tête QUI IL VEUT.
Toi, son fils Belschatsar, tu n’as pas abaissé ton cœur, et pourtant, tu savais tout cela.
Tu t’es élevé contre le Seigneur du ciel ; tu t’es fait apporter les vases de sa Maison, et vous y avez bu du vin, toi, les grands de ton royaume, tes épouses et tes concubines ; vous avez entonné la louange de vos dieux d’or et d’argent, de bronze et de fer, de bois et de pierre, ces dieux qui ne voient pas, qui n’entendent pas, qui ne savent rien. Mais tu n’as pas rendu gloire au Dieu qui tient dans sa main ton souffle et tous tes chemins.
C’est pourquoi il a envoyé cette main et fait tracer cette inscription.
En voici le texte : Mené, Mené, Teqèl, Ou-Pharsine.
Et voici l’interprétation de ces mots : Mené (c’est-à-dire “compté”) : Dieu a compté les jours de ton règne et y a mis fin ;
Teqèl (c’est-à-dire “pesé”) : tu as été pesé dans la balance, et tu as été trouvé trop léger ;
Ou-Pharsine (c’est-à-dire “partagé”) : ton royaume a été partagé et donné aux Mèdes et aux Perses. »
Alors, Belschatsar ordonna de revêtir Daniel de pourpre, de lui mettre au cou un collier d’or et de proclamer qu’il deviendrait le troisième personnage du royaume.
Cette nuit-là, Belschatsar, le roi des Chaldéens, fut tué. » (Daniel, ch. 5)
Il y a donc vingt-cinq siècles, un Perse, Cyrus, descendait des montagnes de l’Iran, et fondait, à la tête de ses armées, un « empire universel ». Il vainquit des rois héritiers de dynasties anciennes et redoutables, comme ceux de la farouche Médie, de la riche Lydie (le pays de Crésus) et surtout le roi Belschatsar de la mystérieuse Babylone afin que s’accomplisse la prophétie. En effet, comme le prophète Daniel l’avait annoncé au roi Belschatsar, Cyrus le Grand envahit la Babylonie en 539 av. J.-C., la transformant en une zone administrative de l’empire achéménide (Perse).
Mais Cyrus, le maître de l’Empire perse, n’était pas un conquérant comme les autres. « Roi des quatre coins du monde » comme on l’appelait à l’époque, il a apporté aux peuples soumis à son autorité une liberté qu’ils n’attendaient pas et il rechercha pour ses sujets le bien-être, l’amitié divine et, par-dessus tout, la paix, ce qui ne s’était jamais vu dans les temps reculés.
Ainsi en 538, à peine une année après la chute de Babylone, il autorisa les déportés de Babylone, notamment les Hébreux, à rentrer dans leur pays pour y reconstruire leur temple. De ce fait, se réalisa une autre prophétie, celle de Jérémie, comme il est écrit en Esdras 1, 1-5 :
« LA PREMIERE ANNEE du règne de Cyrus, roi de Perse, pour que soit accomplie la parole du Seigneur proclamée par Jérémie, le Seigneur inspira Cyrus, roi de Perse. Et celui-ci fit publier dans tout son royaume – et même consigner par écrit : « Ainsi parle Cyrus, roi de Perse : Le Seigneur, le Dieu du ciel, m’a donné tous les royaumes de la terre ; et il m’a chargé de lui bâtir une maison à Jérusalem, en Juda.
Quiconque parmi vous fait partie de son peuple, que son Dieu soit avec lui, qu’il monte à Jérusalem, en Juda, et qu’il bâtisse la Maison du Seigneur, le Dieu d’Israël, le Dieu qui est à Jérusalem.
En tout lieu où résident ceux qui restent d’Israël, que la population leur vienne en aide : qu’on leur fournisse argent, or, dons en nature, bétail, qu’on y joigne des offrandes volontaires pour la Maison de Dieu qui est à Jérusalem. »
Alors les chefs de famille de Juda et de Benjamin, les prêtres et les lévites, bref, tous ceux à qui Dieu avait inspiré cette décision, se mirent en route et montèrent à Jérusalem pour bâtir la Maison du Seigneur. »
Cyrus fut dès lors le symbole de la tolérance aux yeux des prophètes bibliques et à l’heure actuelle, 2500 ans plus tard, Israël en garde toujours le souvenir comme nous le démontre cette organisation à but non lucratif israélienne qui a fait frapper, en signe de gratitude, une pièce de monnaie à l’effigie de Cyrus et de Trump pour célébrer le 70e anniversaire de l’indépendance d’Israël le 14 mai 2018.
Les deux hommes en superposition
Cyrus pour avoir rendu la liberté à Israël captive depuis 70 ans à Babylone et Donald Trump pour sa décision de reconnaître officiellement, au nom des Etats-Unis d’Amérique, Jérusalem capitale d’Israël et d’avoir déplacer l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem. Acte et geste du président Trump qu’aucun président américain n’avait jamais fait avant lui, même le Vatican à l’heure d’aujourd’hui ne reconnait toujours pas Jérusalem capitale d’Israël !
De nombreux historiens considèrent, ce que l’on appelle le Cylindre de Cyrus, découvert en 1879, comme la plus ancienne déclaration des droits de l’Homme au monde. En effet, ce cylindre d’argile comporte une série d’inscriptions cunéiformes représentant une déclaration du roi de Perse Cyrus le Grand écrite après sa conquête de Babylone en 539 avant J-C. Elle liste l’ensemble de ses conquêtes et décrit la capture du dernier roi babylonien (Belschatsar).
Mais le plus intéressant est que ces inscriptions décrivent également une série de thèmes persans forts, encore inconnus à l’époque en Occident : la liberté de culte, l’abolition de l’esclavage, la liberté de choix de profession et l’expansion de l’Empire. De la parole aux actes, la déclaration explique également de quelle manière Cyrus le Grand a amélioré la vie des citoyens babyloniens et comment l’Empereur a libéré nombre d’esclaves et a facilité leur retour chez eux.
Cylindre de Cyrus :
la première déclaration des droits de l’homme
Le cylindre de Cyrus est gardé
au British Museum situé à Londres
Nous avons donc ici affaire à un homme qui n’a rien de commun avec les Hébreux, Cyrus le Grand, que Dieu a prédestiné afin d’accomplir son plan en faveur de tous les hommes, et en particulier de son Peuple, prisonniers de la tyrannie de Babylone. En effet, Cyrus, cet homme prédestiné, fut prophétisé par Isaïe 200 ans avant sa naissance, le nommant même par son propre nom !
« Je dis à Cyrus : « Il est mon berger », il accomplira toute Ma Volonté ; il dira de Jérusalem : « Qu’elle soit rebâtie ! Et du Temple : « Qu’il soit rétabli ! »
« Ainsi parle le SEIGNEUR à son oint, à Cyrus, qu’il a pris par la main pour lui soumettre les nations et désarmer les rois, pour lui ouvrir les portes à deux battants, car aucune porte ne restera fermée ;
MOI, JE marcherai devant toi ; les terrains bosselés, JE les aplanirai ; les portes de bronze, JE les briserai ; les verrous de fer, JE les ferai sauter.
JE te livrerai les trésors cachés, les richesses dissimulées, pour que tu saches que JE SUIS LE SEIGNEUR, celui qui t’appelle par ton nom, MOI, LE DIEU d’Israël.
À cause de MON serviteur Jacob, d’Israël MON élu, JE t’ai appelé par ton nom, JE t’ai donné un titre, alors que tu ne me connaissais pas.
JE SUIS LE SEIGNEUR, il n’y en a pas d’autre, non, en dehors de MOI, il n’y a pas de Dieu. JE t’ai rendu puissant, alors que tu ne me connaissais pas, c’est afin que l’on sache, du soleil levant au soleil couchant, que hors MOI il n’y a point de Dieu : C’est MOI QUI SUIS LE SEIGNEUR, il n’y en a point d’autre. » (Isaïe 44, 1 & 45, 1-6)
Cela nous paraît-il étrange que le prophète Isaïe, 200 ans avant la naissance de Cyrus, l’appelle par son propre nom ? Eh bien, le roi Josias, fut lui aussi appelé par son propre nom trois siècles avant sa naissance (Cf. 1 Rois 13, 1-2)
Rien n’est impossible à Dieu !
De toute éternité, Il connait même notre nom et notre prénom !
Pour résumer, Cyrus le Grand fut un homme prédestiné par Dieu pour accomplir ses desseins en faveur de son peuple en un temps également prédestiné par son Omniscience.
Tout ceci pour démontrer que Dieu est le seul et unique à détenir TOUT POUVOIR et TOUTE AUTORITÉ sur la Terre comme au Ciel et, qu’en des temps très particuliers, il délègue ce pouvoir et cette autorité à qui il veut pour que ses desseins se réalisent comme il le veut, soit pour châtier son peuple soit pour son bien. « Le Dieu Très-Haut est Maître du royaume des hommes et place à sa tête QUI IL VEUT. » (Daniel 4, 22)
AUJOURD’HUI même, en ce temps très particulier de la fin des derniers temps, Dieu s’est choisi un autre « Cyrus » pour rendre l’autonomie et la liberté aux nations captives de la dictature infernale DE L’ÉTAT PROFOND qui n’est autre que la Babylone de l’Apocalypse. Et ce nouveau « Cyrus » n’est autre que Donald J. Trump !
Comme Cyrus, grand stratège prédestiné par Dieu, reçu Pouvoir et Autorité sur les nations, ainsi en est-il de Donald J. Trump, Pouvoir et Autorité lui sont accordés sur les nations captives de la Babylone de la fin des temps !
C’est de Dieu que viennent le Pouvoir et l’Autorité légitimes. Or, le N.O.M., l’Etat Profond, la Babylone de l’Apocalypse, n’a AUCUNE légitimité devant Dieu, elle n’est qu’un parasite d’essence satanique qui s’est incrusté au sein des Institutions humaines en les corrompant et en les dénaturant. Babylone n’a donc AUCUN Pouvoir ni AUCUNE Autorité légitimes sur les nations. C’est pourquoi, en ces jours qui sont ceux de la fin des derniers temps, par l’entremise de « Cyrus-Trump », Dieu a compté les jours de Babylone de l’Apocalypse en la jugeant sous nos yeux ébahis ! (Cf. Ap 17, 18, 19, 1-2)