Mirella Pizzioli, instrument du Ciel
François, du ciel, au Père Jacques :
on ne peut nier l’évidence
Bonjour. Un jour de paix pour toi, cher Père, et un remerciement pour toi, maman. Voilà, encore une fois, je descends du ciel pour porter sur la terre la parole de Dieu. L’unique – vérité absolue – la parole du Seigneur – vivante – vraie – présente – actuelle – pour toujours. Dieu parle aux hommes d’aujourd’hui, à ceux de demain, à ceux d’hier, toujours par la même parole. Permets-moi, Père Jacques, qu’avec grand respect, je m’adresse à toi. Sois béni, parce qu’en dépassant tant de préjugés, tant d’adversités et tant de doutes, ton cœur s’est laissé adoucir par les paroles qui viennent ainsi surnaturellement du ciel. Nous comprenons les doutes et les peurs, mais nous comprenons aussi que chez certains, peut-être trop, l’obstination est excessive. On ne peut nier l’évidence. Dieu est présent, il est présent, et Dieu parle, et Dieu dialogue. Dieu intervient dans la vie de ses créatures. Dieu est avec vous. Il est tout en tous et pour tous.
Maintenant je dois t’éclairer sur une chose que parfois on oublie sur la terre.
Les créatures regardent Dieu et elles se voient elles-mêmes se refléter dans cette créature si mystérieuse : alors … Dieu raisonne avec un esprit humain… et Dieu pense… et agit… comme un homme.
Voilà l’erreur : Dieu est surnaturel, tout ce qui regarde Dieu, la vie du ciel, l’après, est toujours surnaturel, parce qu’en priant, on dialogue avec Dieu et Dieu est surnaturel. Donc, toutes les manifestations de Dieu, de sa sainte Maman, des saints, des anges, de nous créatures désormais purifiées et semblables à notre Seigneur bien-aimé : tout cela est naturel.
Comment peut-on le nier alors ?
Le devoir du prêtre, c’est aussi ceci : chercher à faire méditer sur la réalité surnaturelle de Dieu. Même si Dieu descend pauvre parmi les pauvres, il reste Dieu. Toi, maintenant, écoute ma voix par volonté de Dieu.
Oui, je suis le porte-voix du Seigneur, mais c’est le Seigneur lui-même qui m’a inspiré les paroles. Les paroles… Père, les pensées… les miennes sont des pensées ; je transmets des pensées, non des paroles et l’instrument que Dieu a choisi, par l’œuvre et la grâce du Saint-Esprit, traduit en paroles. Mais moi, nous, nous transmettons des pensées et des sentiments, passées à travers le filtre de l’amour divin. Autrement ce petit instrument humain n’en supporterait pas la profondeur et son âme serait ravie en extase.
Voilà, Père. Que Dieu te bénisse, parce que tu es son messager, tu es son représentant sur la terre.
Toi, pense aux anges : créatures extraordinaires, parfaites, saintes, très purs esprits… quand tu élèves vers le ciel le Corps et le Sang de Jésus, tu es supérieur aux anges.
Ton humanité ? Naturellement, tu es un homme, ne t’en fais pas une faute, Dieu le sait, bien avant toi, mais ensuite, ton sacrement, ton vœu te rend grand, grand.
Sois humble dans ta grandeur, ris, souris, prends dans tes bras la sainte Croix de Jésus et tandis que tu l’embrasses, souris pour tous te voient heureux d’être un ministre de Dieu.
Ton église a été choisie. Tu verras.
La Sainte Vierge y demeure, elle est vivante, présente, Mère, Maman, et appelle à elle tous ses enfants. Ne te préoccupe pas, ne te fais pas de soucis, mais laisse au Seigneur le plaisir d’organiser de saintes rencontres.
Toi, prie seulement et confie-toi à lui. Je prends dans mes mains tes mains. Des mains saintes, tu sais ! Saintes, ces mains qui savent imposer des bénédictions et qui savent bénir, porter la paix et pardonner les péchés. Penses-tu jamais à ce que tu fais tandis qu’au nom de Dieu tu pardonnes ? Plus que les anges ! Beaucoup plus !
Sois béni, Père Jacques, et avec toi, tous les prêtres de la terre : le sel, le sel de la terre.
Comme les paroles de Jésus sont peu comprises ! Parle de Jésus, prends le saint Evangile, et instruis-nous, les jeunes, la jeunesse du ciel.
Je suis François, un jeune saint qui du ciel combat à côté de saint Michel Archange contre le mal de la terre. Un des maux est l’ignorance, le fait de ne pas connaître Dieu.
Sois béni, Père, parce que tu vis dans la maison de Dieu et quand tu mets tes fleurs sur l’autel, Jésus t’observe et te remercie.
L’Esprit-Saint est entré dans ton église et il portera ses dons et ses fruits.
Ne pleure pas. Ne t’étonne pas des merveilles de Dieu.
Père Jacques, émerveille-moi des merveilles de Dieu.
A tous, la paix du Seigneur.
François
Extrait de Jésus, Lumière du Monde
Page 214 à 216.