ASDE 022/4 : Grande digue contre les forces du Mal – don Ottavio Michelini

Grande digue contre

les forces du Mal

 

Confidences de Jésus à ses prêtres

 

Mes fils, vous qui craignez Dieu, qui possédez foi et sagesse, veillez, gardez les inestimables trésors de grâce que vous avez dans vos cœurs, car ils ne peuvent être comparés à aucune richesse humaine. Il vous est possible de voir ce que beaucoup de ceux qui sont investis du sacerdoce et de grands pouvoirs ne voient pas, car la présomption et l’orgueil les ont aveuglés.

 

C’est pourquoi, mes fils, Je vous ai appelés ici, ici autour de Moi, pour vous dire que Je vous veux unis dans la foi et dans l’amour comme un bloc de granit, comme une digue capable de contenir les forces et les puissances du Mal pour bloquer l’avance de l’ennemi commun.

 

Fils, il est nécessaire de réagir, de passer à la contre-attaque avec Moi, près de Moi. Ce sera Moi qui vous guiderai au milieu de la mêlée, car à l’heure déterminée, Moi, la Reine des Vallées, mais aussi la Reine des Victoires, Je lui écraserai de nouveau la tête et le refoulerai, lui et ses innombrables légions, dans l’enfer créé pour eux par la Justice divine.

Le Rosaire, lampe dans les ténèbres

 

 

Mes fils, vous près de Moi et avec Moi, nous hâterons ensemble sur la terre l’avènement du Règne de mon et votre Jésus dans une Eglise régénérée à une vie nouvelle. Vous serez, vous mes fils, levain et ferment d’une vie nouvelle ; vous serez, vous, près de Moi qui ai donné au monde la Lumière, des lampes qui brillent dans les ténèbres.

 

Ici Je vous ai appelés, ici Je vous ai voulus, parce que de même que Gabriel, ambassadeur céleste, vint à Moi dans la grande ambassade qui réconcilia le ciel et la terre, de même vous, ambassadeurs de Dieu et de sa Mère, avec Moi vous réconcilierez les âmes séparées de Dieu et de sa Mère, par la prière et par l’offrande à Dieu et à Moi, Mère de Dieu.

 

Le tonnerre gronde, présage de tempête, mais vous, ne craignez pas ; près de Moi, vous ne devez rien craindre. Prudence, fils, mais non pusillanimité !

 

A vous a été donnée une arme formidable. Si dans mon Eglise cette arme était employée, tout danger disparaîtrait. Je l’ai recommandée à Lourdes, à Fatima et en tant d’autres lieux ; aujourd’hui, de nouveau, Je vous la rappelle : Rosaire, Rosaire, Rosaire !

 

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