Jean, Messager : La confession

La confession

 

 Livre Guérison de l’arbre Généalogique – page 72 :

 

Dans un jardin, le terrain est envahi par de mauvaises herbes.

 

Pourquoi ? Uniquement parce que vous ne les avez pas arrachées à temps. De même, de petits larcins mènent rapidement à des hold-up, si ce n’est à des meurtres. Les drogués commencent par des substances douces, et souvent, ils franchissent le pas, en utilisant des drogues de plus en plus dures. Ils ont besoin d’argent, volent et se retrouvent en prison. Et bien, il en est de même pour les péchés: de véniels, ils peuvent devenir de plus en plus considérables. Comment s’en sortir ? Comme vous le disait votre directeur de conscience, il s’agit de se confesser le plus souvent possible et cette toilette vous sera salutaire. C’est le péché qui vous sépare de Dieu, comme un épais nuage cache le soleil. (15.10.2000)

 

 Vous savez bien que le Seigneur est plein d’amour pour vous, et si miséricordieux ! 

Évidemment, Il n’aime pas vos défaillances ; aussi vous devez user de cette possibilité de vous racheter par la confession. Dans la confession, ne regardez pas le visage du prêtre, mais celui de Jésus qui vous accueille et vous pardonne, car votre amitié Lui est précieuse. (31.05.2000) 

 

Quand un homme ou une femme commet quelque faute grave, bien souvent leur orgueil et leur amour-propre les empêchent d’aller se confesser, de peur que le prêtre ne pense du mal d’eux, alors qu’il est l’oreille du Bon Dieu. Le pardon des péchés se gagne à la sincérité de votre humiliation auprès d’un prêtre qui a le pouvoir d’absolution.

 

Beaucoup se confessent directement au Bon Dieu. Ils sont comme des étrangers qui passent clandestinement la frontière et, quand ils seront découverts, ils seront renvoyés dans leur pays d’origine. Tandis que ceux qui sont dotés d’un passeport (la confession auprès d’un prêtre) seront accueillis et pleinement acceptés. La confession est un sacrement que l’homme reçoit à condition qu’il s’y soumette avec humilité, obéissance et amour. (22.11.2000) 

 

Votre âme est à comparer à un champ. Le péché s’y établit, l’ensemence non par de bons grains, mais par des cailloux qui empêchent la récolte de pousser aux endroits précis où ils sont tombés. Au bout d’un certain temps, le champ se trouve ainsi étouffé par des pierres. Le sol ne respire plus et si, parfois, avec les intempéries, le vent et la pluie, un peu de terre se dépose sur ces pierres et laisse germer quelques pousses — cela correspond aux bonnes actions que vous pouvez accomplir tout en étant en état de péché — rien n’est véritablement solide, rien n’a de valeur durable dans la mesure où la racine n’est pas profondément ancrée dans le sol. Et cette racine, vous l’y fixerez par la confession.

 

La confession est le moyen le plus sûr pour ôter les pierres de votre champ. 

 

Ceux qui ne l’utilisent pas, pèchent d’abord par orgueil en n’acceptant pas le prêtre comme intermédiaire entre Dieu et eux-mêmes, alors que Jésus-Christ est l’intermédiaire parfait entre Dieu et les hommes. 

 

 

Il passe par le prêtre pour nettoyer l’âme de ses péchés. Le moindre de vos mouvements vers Dieu est béni.  Il n’existe pas de péchés privés ou personnels, il faut que vous compreniez que les péchés peuvent affecter vos contemporains et en particulier ceux qui vous sont proches !

 

Si secrets soient-ils, tous vos péchés ont un effet négatif sur votre comportement. 

Si vous ressentez de la colère contre quelqu’un, même si vous ne la manifestez par aucune parole ni aucun acte, cette disposition néfaste de votre cœur a malgré tout un effet destructeur sur ceux qui vous entourent. (19.04.2006)

 

 

 

 

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