Par la douleur,
l’homme acquiert de la spiritualité
Il y a beaucoup à méditer sur le temps du Carême, le temps de ma douleur humaine, car ma douleur d’homme est celle de tout homme qui a pu, su ou voulu me connaître et reconnaître en moi le Rédempteur.
La douleur rachète, la douleur est sacrifice, prière et peut arriver à être sainteté. Par la douleur, l’homme acquiert de la spiritualité.
J’ai voulu ma douleur pour vous l’offrir à tous, afin que vous puissiez la comprendre et l’accepter, quand par grâce et volonté divine, sous bien des aspects, la douleur vient frapper à vos cœurs tremblants.
Si moi, le Fils Unique de Dieu, né pour mourir en croix pour vous, j’ai accepté la douleur, vous devez, vous aussi, accepter la vôtre, la grande, la petite, le tourment et le fardeau de la peine et des renoncements et accepter chaque chose que Nous voulons par amour pour vous.
Vous devriez méditer beaucoup, ô hommes, dans la triste période de la Passion et puis vous réjouir de la Pâque de la Résurrection, car en elle vous pouvez voir la vôtre et celle de vos bien-aimés. La vision de mon Corps de Lumière Ressuscité devra être pour chaque créature le symbole de mon espérance. L’espérance qui vous fera voir au-delà de ce qui passe, de la douleur, de la peine, de la joie fugace !
Au-delà de votre vie terrestre existe la Résurrection.
Il y a beaucoup à méditer à ce sujet, de sorte que votre joie future puisse déjà vous appartenir un peu.
Le violet est la douleur triste de la mélancolie, mais l’or la couleur de la lumière de mes autels resplendissants, qui, grâce à votre prière devant eux, peuvent vous ouvrir un espace pour arriver déjà de la terre au Ciel !