Extrait de Divins Appels, de Marie Sevray – 31

Vie d’union à Dieu, même en pleine action

Et là est la seconde manière.

Oui, au milieu des occupations extérieures, savoir, tout à la fois, y être et n’y être pas, parce que, ne perdant pas ma présence un seul instant, sachant être dégagé toujours.

Et Je me demande que ce ne soit pas seulement le lot des âmes dites pieuses, mais de toutes les âmes, de tous !

A tous les rangs de la société, dans toutes les carrières, à tous les âges, Je demande ce recueillement au-dedans, cette attention à Moi qui suis au centre de chacune.

Qu’elles ne me laissent pas seules en elles ! Qu’on leur dise bien cela !

Mais comment le leur dire ? Elles ne comprendront pas, pourrait-on objecter.

Si ! Elles comprendront. Que l’on travaille ainsi les tout-petits, puis les âmes, toutes les âmes…

I faut que ce soit un souci constant de les amener à faire attention à Moi… qui suis au-dedans d’elles.

Et puis, les âmes dans lesquelles on lancera plus directement mes Appels, celles-là seront le ferment qui fera lever la masse.

Que je ne suis plus le divin Méconnu. Celui qui appelle… et qui n’est pas écouté ! Celui qui voudrait qu’on L’aimât, et qui est délaissé…

La vie intérieure… Oh oui ! Que l’on pousse, que l’on entraîne les âmes à la vie intérieure ! Elle est à la portée de toutes, depuis les plus simples, les moins lettrées, les moins travaillées, les plus rudimentaires, jusqu’à celles que J’ai déjà entraînées très haut dans les voies de la sainteté.

Extraits de « Divins Appels » aux Ed. du Parvis

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