Je n’accorde pas à tous les mêmes dons – Maria Buttini (ASDE 16/3)

Guliana Buttini

 

Je n’accorde pas à tous les mêmes dons

Je veux que chaque créature ait sa vie

Et suive son propre chemin

 

Ma créature, voici ma voix !

 

La voix de la Vérité qui traverse ton âme et te fait entrevoir un monde mystérieux, le vrai monde, celui que j’ai promis à tous les hommes !

 

Les bienheureux qui vivent déjà de la vie que Nous avons promise, la vraie vie, vous regardent vivre sur terre. Ils savent tout ce qu’il en sera de vous et de la terre, des jours brefs des hommes !

 

Et la terre tremble ! Personne ne le comprend ni ne veut l’accepter !

 

La terre tremble – ne pensons pas à un tremblement de terre – mais à l’âme des hommes dans leur lutte contre le mal qui progresse. Quand les hommes comprendront-ils l’importance de leur âme ?

 

Je donne tout aux âmes et aux corps avec empressement, ce qui est juste, le superflu, ou le peu pour le bref temps de la vie du corps.

 

Je n’accorde pas les mêmes biens ni les mêmes dons à tous. Je veux que chaque créature ait sa vie, son chemin propre et je donne à chacune mon, amour et la récompense en fonction de ce qu’elle a reçu à sa naissance.

 

Les créatures naissent sur terre, ont une courte vie, car le temps de la terre est toujours bref. Très vite le nouveau-né est adulte, vieux et son tour est fini. Tous les biens matériels qu’il a accumulés lui sont enlevés. Il lui reste ce qui a enrichi son être spirituel éternel.

 

C’est ainsi. Le point de départ est la naissance terrestre. Naître à la vérité, c’est renaître ou encore naître vraiment, car sur terre l’homme ne vit pas, il se prépare à vivre.

 

Toi, ma créature, tu comprends tout cela, mais ce n’est pas le cas de tous. S’ils le comprennent, ils l’oublient, souvent en proie à des sentiments trop humains, tel que le désir de posséder ou celui d’actions injustes !

 

Voilà, mes créatures, des considérations sur l’humanité qui va et vient vers Nous ou ne vient pas à Nous. Elles paraissent claires, faciles, connues, mais ce n’est pas ainsi. Le monde tremble et les âmes des hommes ne comprennent pas. Vous qui l’avez reçue, donnez de la lumière.

 

Moi, en vérité je vous dis que je veux tout cela pour vous.

 

Toi, écris, écoute-moi, et toi L…, suis-la, prends soin d’elle, protège-la et parle pour toi et pour elle. Une parole peut creuser, et creuser encore dans une conscience ; dans un premier temps, elle peut ne pas être entendue, mais ensuite on peut y repenser et elle peut faire réfléchir, permettre de comprendre et peu à peu faire s’ouvrir l’âme. Je veux vous voir agir, parler et vivre en justes. De chacun je veux quelque chose, car chaque homme est un monde qui fait partie de la « Grande Harmonie » et les deux sont unis. Les hommes se complètent, chacun vit sa vie et celle des autres. Et tout est pour la gloire éternelle, pour la vie en Vérité.

 

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