A Fatima, J’ai annoncé ce qui arrivera si on ne prie pas. (ASDE 17)

Vie de Marie à Nazareth

(Guliana Buttini)

 

A Fatima, J’ai annoncé ce qui arrivera

si on ne prie pas.

 

13 mai 1983

 

A Fatima, j’ai parlé au monde de ce qui arrivera si l’humanité ne prie pas, ne fait pas de sacrifices et n’accepte pas la volonté de Dieu avec ferveur. A toi, en revanche, j’aime toujours parler de ma vie en mon temps, au temps de Jésus.

 

Au pied de la Croix, je vivais la douleur que tu connais, la douleur la plus grande que seule la foi peut soulager un peu. Sur terre, j’ai vécu ensuite dans l’attente de ma rencontre avec Jésus, et le monde pour moi n’avait plus ni lumière, ni couleur ; cela tu le sais, pour toi aussi, il en est ainsi.

 

Et faire part au monde de nos peines est inutile. Demander de l’aide à Jésus et faire confiance en son secours est important. Jésus se manifeste à l’âme et parfois Il se fait miraculeusement entendre. Moi, Myriam, j’ai vécu alors avec Johanan et tous les apôtres me réconfortaient par leur affection et Moi, je leur apprenais ce que Jésus me suggérait.

« Immi, Je suis avec toi. Ecoute-Moi. »

 

Sa voix est celle que tu connais, une voix douce et solennelle, musicale et forte, la voix de Dieu ! Cette voix qu’on peut entendre à travers son vent quand il souffle sur ceux qu’Il choisit. Personne ne peut arrêter son vent quand il souffle sur ceux qu’Il choisit. Personne ne peut arrêter le vent, pas plus la voix de mon Jésus :

 

« Domina, quand nous allions avec Jésus à travers les villages et les forêts, nous parlions de beaucoup de choses, toujours importantes pour l’âme, et dans les heures douces des soirées Jésus nous parlait souvent aussi de toi. »

 

Jésus m’a aimée comme un fils et comme Dieu aime tous ses enfants. Je suis sa Mère et encore maintenant, dans le Royaume, cela continue de m’étonner. Dans le Royaume, on voit la réalité, les mystères n’existent plus, la sagesse est en tous, mais nous sommes toujours nous -mêmes. A Fatima, j’ai prophétisé et je voudrais que le monde sache et croie. Maintenant, il ne reste plus beaucoup de temps pour sauver le monde, mais vous les apôtres, sauvez en Dieu et avec son secours ce qui peut l’être ! Je ne demande pas seulement le rosaire, Je demande surtout ce que Jésus demande depuis des siècles : l’amour.

 

Aimez-vous et aimez Jésus, agissez avec générosité et charité : voilà la prière, voilà le rosaire ! Donnez en vous sacrifiant et avec amour : voilà la prière ! Le monde a besoin de prières et aussi d’oraisons, certes, mais toujours et seulement avec le cœur et l’âme, non du bout des lèvres, distraitement.

 

Non pour demander, mais pour honorer.

 

« Domina, Jésus t’a beaucoup aimée. »

 

« Dans le Royaume, Jésus M’attend et M’aime. » Il en est ainsi pour ton fils : l’amour est vainqueur, l’amour est éternel dans le Royaume.

 

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