Un fait unique – dom Ottavio Michelini

Confidences de Jésus à ses prêtres

Don Ottavio Michelini

Un fait unique

 Quel est, Seigneur, la participation de ta Maman au Mystère eucharistique ?

La même qu’au Mystère de l’Incarnation.

Elle est de communion parfaite, elle vivant de Moi et Moi d’elle. Elle, de ma nature divine, Moi de sa nature humaine.

J’ai dit que nous vivons en une communion parfaite ; où Je suis, elle est aussi. Fils, cela suffirait pour rendre plus accessible aux âmes la grandeur de ma et votre Mère.

Par elle, le Verbe éternel de Dieu s’est greffé sur la nature humaine ! Par son intermédiaire, le Mystère du salut a pu se réaliser…

La communion, découlant du Mystère de l’Incarnation, continue  dans le Mystère eucharistique et continuera dans l’éternité. Moi Je vivrai toujours de sa nature humaine et elle vivra toujours de ma Nature divine.

Cette communion est un fait unique qui ne peut plus se répéter ; elle n’a pas son équivalent dans ma communion avec les âmes en étant de grâce, bien que cette dernière aussi soit une chose qui ne puisse humainement se décrire, en raison de sa surnaturelle beauté.

Plongé dans l’obscurité

Du rapport intervenant entre Dieu, Un et Trine, et ma Mère dérivent des faits sublimes, uniques :

  • Sa maternité inséparable de sa virginité ;
  • Son immuable conception ;
  • Son exemption de la corruption de la chair ;
  • Son assomption et sa royauté au-dessus de toutes les puissances du ciel et de la terre ;
  • Son pouvoir sur les forces mêmes de l’enfer, qu’à la fin elle vaincra définitivement.

Dans leur présomptueuse suffisance, les hommes ne voient pas la grandeur et la puissance de ma Mère, qui est aussi leur Mère. Ils n’ont pas écouté ses appels maternels. S’ils s’adressaient à elle repentis, s’ils la priaient, les hommes pourraient éviter l’avalanche qui les menace et qui est déjà en mouvement. Au contraire, ivres de plaisirs et de biens matériels, ils vivent plongés dans l’obscurité, comme s’il n’y avait pas Dieu et comme s’il n’y avait pas ma Mère.

Les hommes, et même beaucoup de mes ministres, n’ont pas compris cela, parce qu’ils n’ont pas approfondi l’amour sans mesure de leur Mère céleste. S’ils l’avaient compris e s’ils avaient correspondu, que de maux auraient été évités aux individus et aux peuples ; comme aurait été serein pour tous leur pèlerinage sur la terre !

25  juillet 1975

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