Le grand refuge et l’environnement sûr, le 27/02/2023

Le grand refuge et l’environnement sûr

CHAQUE FOIS QUE J’écris de « châtiments » ou de « justice divine », je grince toujours des dents, parce que si souvent ces termes sont mal compris. À cause de nos propres blessures, et donc de nos vues déformées de la « justice », nous projetons nos idées fausses sur Dieu. Nous considérons que la justice consiste à « riposter » ou à d’autres personnes qui obtiennent « ce qu’elles méritent ». Mais ce que nous ne comprenons souvent pas, c’est que les « châtiments » de Dieu, les « punitions » du Père, sont enracinés toujours, toujours, toujours, dans l’amour.

27 Février 2023

Celui qui épargne sa verge déteste son fils, mais celui qui l’aime prend soin de le châtier… Pour qui le Seigneur aime, il discipline ; Il flagelle tous les fils qu’il reconnaît. (Proverbes 13:24, Hébreux 12:6)

Oui, peut-être méritons-nous nos « déserts justes » comme on dit. Mais c’est précisément la raison pour laquelle Jésus est venu : littéralement, pour prendre sur Lui le châtiment dû à l’humanité, quelque chose que seul Dieu pouvait faire.

Lui-même a porté nos péchés dans son corps sur la croix, afin que, libérés du péché, nous puissions vivre pour la justice. Par ses blessures, vous avez été guéris. Car vous vous étiez égarés comme des brebis, mais vous êtes maintenant revenus au Berger et Gardien de vos âmes. (1 Pierre 2:24-25)

Oh, l’amour de Jésus pour toi est la plus grande histoire d’amour jamais racontée. Si vous avez sérieusement gâché votre vie, Il attend de vous guérir, d’être votre Berger et le Gardien de votre âme. C’est pourquoi nous appelons les évangiles « bonne nouvelle ».

L’Écriture ne dit pas que Dieu est aimant, mais qu’Il est amourIl est la « substance » même de ce que tout cœur humain désire. Et l’amour doit parfois agir de manière à nous sauver de nous-mêmes. Donc, quand nous parlons de châtiments qui s’abattent sur la terre, vraiment, nous parlons de Sa justice miséricordieuse.

Je ne veux pas punir l’humanité douloureuse, mais Je désire la guérir, en la pressant contre Mon Cœur Miséricordieux. J’utilise la punition quand eux-mêmes Me forcent à le faire ; Ma main est réticente à saisir l’épée de la justice. Avant le Jour de Justice, J’envoie le Jour de la Miséricorde. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1588

Pour certains, cet élan de repentir peut ne venir qu’au milieu des châtiments à venir, même quelques instants avant leur dernier souffle (voir Miséricorde dans le chaos). Mais quels risques terribles les âmes prennent-elles en restant sur la mer du péché à l’approche de ce Grand Ouragan de notre époque ! Il est temps de trouver un véritable abri dans cette tempête à venir. Je m’adresse plus particulièrement à vous qui vous sentez damnés et au-delà de toute espérance.

Vous ne l’êtes pas, à moins que vous ne le souhaitiez.

Dieu ne veut pas écraser les avorteurs, les pornographes, les adultères, les ivrognes, les menteurs, les calomniateurs et les âmes consumées par l’amour de soi, la richesse et la cupidité. Il veut les ramener à Son Cœur. Il veut que nous reconnaissions tous qu’il est notre véritable pôle. Lui, la « Substance » appelée Amour, est le véritable désir de nos cœurs ; Il est le véritable refuge et refuge dans la tempête actuelle et à venir qui commence à secouer le monde… et Il accueille chaque pécheur sur la surface de la terre pour y trouver refuge. C’est-à-dire que Sa Miséricorde est notre refuge.

Les flammes de la miséricorde Me brûlent, réclamant d’être épuisées ; Je veux continuer à les déverser sur les âmes ; les âmes ne veulent tout simplement pas croire en Ma bonté. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 177

En effet, cher lecteur, Il nous supplie d’entrer dans ce Refuge avant qu’il ne soit trop tard.

Déterminé est le jour de la justice, le jour de la colère divine. Les anges tremblent devant elle. Parlez aux âmes de cette grande miséricorde pendant qu’il est encore temps d’accorder la miséricorde. —Mère de Dieu à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 635

VIENS, Ô PÉCHEUR DOUTEUX…

À vous qui croyez que Dieu est miséricordieux, mais doutez de Sa bonté et de Son amour pour vous[1] qui sentent qu’Il vous a oubliés et abandonnés, dit-il…

… le Seigneur réconforte son peuple et fait preuve de miséricorde envers ses affligés. Mais Sion dit : « L’Éternel m’a abandonné ; mon Seigneur m’a oublié. Une mère peut-elle oublier son enfant, être sans tendresse pour l’enfant de son ventre? Même si elle oublie, je ne t’oublierai jamais. (Ésaïe 49:13-15)

Il vous regarde maintenant, comme il l’a fait pour ses apôtres qui craignaient et doutaient à cause des vagues d’une tempête.[2] — même si Jésus était avec eux dans la barque — et Il dit :

Mon enfant, tous tes péchés n’ont pas blessé Mon Cœur aussi douloureusement que ton manque de confiance actuel fait qu’après tant d’efforts de Mon amour et de Ma Miséricorde, tu devrais encore douter de Ma bonté. — Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1486

Vous pensez que vos péchés sont un obstacle pour Dieu. Mais c’est précisément à cause de vos péchés qu’Il se précipite pour vous ouvrir Son Cœur.

Le pécheur qui ressent en lui une privation totale de tout ce qui est saint, pur et solennel à cause du péché, le pécheur qui, à ses propres yeux, est dans les ténèbres totales, coupé de l’espérance du salut, de la lumière de la vie et de la communion des saints, est lui-même l’ami que Jésus a invité à dîner, celui à qui on a demandé de sortir de derrière les haies, celui à qui on a demandé d’être partenaire de son mariage et héritier de Dieu… Quiconque est pauvre, affamé, pécheur, déchu ou ignorant est l’invité du Christ. — Matthieu le Pauvre, La communion d’amour, p.93

Par la confession de vos fautes[3] et confiant en sa bonté, un océan de grâces devient disponible pour vous. Non, vos péchés ne sont pas une pierre d’achoppement pour Dieu ; ils sont une pierre d’achoppement pour vous lorsque vous ne faites pas confiance à Sa Miséricorde.

Les grâces de Ma miséricorde sont attirées au moyen d’un seul vaisseau, c’est-à-dire la confiance. Plus une âme a confiance, plus elle recevra. Les âmes qui ont une confiance illimitée sont un grand réconfort pour Moi, parce que Je verse tous les trésors de Mes grâces en elles. Je me réjouis qu’ils demandent beaucoup, parce que c’est Mon désir de donner beaucoup, beaucoup. D’un autre côté, je suis triste quand les âmes demandent peu, quand elles rétrécissent leur cœur. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1578

Le Seigneur écoute les nécessiteux et ne rejette pas ses serviteurs dans leurs chaînes. (Psaume 69:3)

VIENS, Ô PÉCHEUR DÉCOURAGÉ…

À vous qui vous efforcez d’être bons, et pourtant tombez et tombez, Le reniant comme Pierre Le a renié,[4] Voici ce qu’il dit :

Ne soyez pas absorbés par votre misère – vous êtes encore trop faibles pour en parler – mais regardez plutôt Mon Cœur rempli de bonté et imprégnez-vous de Mes sentiments. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1486

Avec la même miséricorde et la même confiance qu’il a montrées en Pierre après son reniement, Jésus vous dit maintenant :

Mon enfant, sachez que les plus grands obstacles à la sainteté sont le découragement et une anxiété exagérée. Ceux-ci vous priveront de la capacité de pratiquer la vertu. Toutes les tentations unies ne doivent pas troubler votre paix intérieure, pas même momentanément. La sensibilité et le découragement sont les fruits de l’amour de soi. Vous ne devriez pas vous décourager, mais vous efforcer de faire régner Mon amour à la place de votre amour-propre. Ayez confiance, Mon enfant. Ne perdez pas courage en venant vous demander pardon, car je suis toujours prêt à vous pardonner. Chaque fois que vous le suppliez, vous glorifiez Ma miséricorde. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1488

Il s’écrie :

Voyez à quel point vous êtes petit! Soyez humilié par votre faiblesse et votre incapacité à faire beaucoup de bien. Tu vois, tu es comme un petit enfant… un enfant qui a besoin de son papa. Alors venez à Moi…

Quant à moi dans ma pauvreté et ma douleur, que ton aide, ô Dieu, m’élève. (Psaume 69:3)

VIENS, Ô PÉCHEUR CRAINTIF…

À vous qui sentez que votre péché a épuisé les miséricordes de Dieu,[5] Il dit…

La cause de vos chutes est que vous comptez trop sur vous-même et trop peu sur Moi. Mais que cela ne vous attriste pas tellement. Vous avez affaire au Dieu de miséricorde, que votre misère ne peut épuiser. Rappelez-vous, je n’ai pas accordé seulement un certain nombre de pardons. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1485

A vous qui avez peur de vous approcher de Lui encore une fois avec les mêmes péchés, les mêmes faiblesses, Il répond :

Ayez confiance, Mon enfant. Ne perdez pas courage en venant vous demander pardon, car je suis toujours prêt à vous pardonner. Chaque fois que vous le suppliez, vous glorifiez Ma miséricorde… N’ayez crainte, car vous n’êtes pas seul. Je vous soutiens toujours, alors appuyez-vous sur Moi pendant que vous luttez, ne craignant rien. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1488

C’est celui que j’approuve : l’homme humble et brisé qui tremble à ma parole. (Ésaïe 66:2)

Mon Cœur déborde d’une grande miséricorde pour les âmes, et spécialement pour les pauvres pécheurs. Si seulement ils pouvaient comprendre que Je suis le meilleur des Pères pour eux et que c’est pour eux que le Sang et l’Eau ont coulé de Mon Cœur comme d’une source débordant de miséricorde. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 367

VIENS, Ô PÉCHEUR QUI S’EFFORCE

À celui qui fait confiance, et pourtant échoue, qui essaie, mais ne réussit pas, qui désire, mais n’atteint jamais, Il dit :

Si vous ne parvenez pas à profiter d’une opportunité, ne perdez pas votre paix, mais humiliez-vous profondément devant Moi et, avec une grande confiance, immergez-vous complètement dans Ma miséricorde. De cette façon, vous gagnez plus que vous n’avez perdu, parce que plus de faveur est accordée à une âme humble que l’âme elle-même ne le demande… —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1361

… un cœur contrit et humilié, ô Dieu, tu ne rejetteras pas. (Psaume 51:19)

Pour vous, dit-il, devenez encore plus petit, de plus en plus dépendant de Lui pour tout… [6]

Venez donc avec confiance pour tirer des grâces de cette fontaine. Je ne rejette jamais un cœur contrit. Votre misère a disparu dans les profondeurs de Ma Miséricorde. Ne discutez pas avec Moi de votre misère. Tu me donneras du plaisir si tu me remets tous tes ennuis et tes chagrins. J’accumulerai sur vous les trésors de Ma grâce. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1485

Sans frais que vous avez reçus; sans frais, vous devez donner. (Matthieu 10:8)

VIENS, Ô PÉCHEUR ENDURCI…

J’entends Jésus traverser Internet, traverser le gouffre qui vous sépare aujourd’hui, vous dont les péchés sont si noirs que vous sentez que Dieu ne pourrait pas vouloir de vous… qu’il est trop tard.[7] Et Il dit…

… entre Moi et vous, il y a un abîme sans fond, un abîme qui sépare le Créateur de la créature. Mais cet abîme est rempli de Ma miséricorde. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1576

Ce qui semble alors être une rupture impossible entre vous et Dieu [8] a maintenant été restauré par la mort et la résurrection de Jésus. Vous n’avez qu’à traverser ce pont vers Son Cœur, sur le Pont de la Miséricorde…

Ô âme plongée dans les ténèbres, ne désespérez pas. Tout n’est pas encore perdu. Viens te confier à ton Dieu, qui est amour et miséricorde… Qu’aucune âme ne craint de s’approcher de Moi, même si ses péchés sont comme écarlates… Je ne peux pas punir même le plus grand pécheur s’il fait appel à Ma compassion, mais au contraire, Je le justifie dans Ma miséricorde insondable et impénétrable. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1486, 699, 1146

Mon cœur est submergé, ma pitié est remuée. Je ne donnerai pas libre cours à ma colère ardente… (Osée 11:8-9)

À toi, si affaiblis et endurcis par la dépendance au péché, [9] Voici ce qu’il dit :

N’aie pas peur de ton Sauveur, ô âme pécheresse. Je fais le premier pas pour venir à vous, car je sais que par vous-même vous êtes incapable de vous élever à moi. Enfant, ne fuis pas ton Père ; soyez disposés à parler ouvertement avec votre Dieu de miséricorde qui veut prononcer des paroles de pardon et vous prodiguer ses grâces. Comme ton âme Me est chère ! J’ai inscrit ton nom sur Ma main ; vous êtes gravés comme une blessure profonde dans Mon Cœur. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1485

Vois, sur la paume de mes mains je t’ai gravé… (Ésaïe 49:16)

S’il pouvait se tourner vers un voleur dans ses derniers moments sur la croix à côté de lui et l’accueillir au paradis, [10] Jésus, qui est mort pour vous, n’accordera-t-il pas aussi la même miséricorde à vous qui le demandez ? Comme le dit souvent un cher prêtre que je connais : « Le bon larron a volé le paradis. Alors, volez-le! Jésus veut que vous voliez le paradis ! » Christ n’est pas mort pour les justes, mais précisément pour les pécheurs, oui, même pour les pécheurs les plus endurcis.

La plus grande misère d’une âme ne M’allume pas de colère ; mais plutôt, Mon Cœur est poussé vers elle avec une grande miséricorde. —Jésus à sainte Faustine, Miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1739

Que les paroles du bon larron deviennent donc les vôtres :

Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton royaume. (Luc 23:42)

J’habite en haut, et dans la sainteté, et avec ceux qui sont écrasés et abattus en esprit. (Ésaïe 57:15)

LA SPHÈRE DE SÉCURITÉ

Le lieu de « l’ancrage » pour l’âme est celui que Jésus a soigneusement établi dans son Église. Après sa résurrection, Jésus a rencontré une fois de plus ses apôtres pour établir un véritable port pour les âmes :

Il souffla sur eux et leur dit : « Recevez le Saint-Esprit. Si vous pardonnez les péchés de quelqu’un, ils sont pardonnés ; Si vous conservez les péchés de quelqu’un, ils sont conservés. » (Jean 20:22-23)

Ainsi, un nouveau sacrement a été établi, appelé « Confession ».

Par conséquent, confessez-vous vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. (Jacques 5:16)

Et nous confessons nos péchés aux seuls qui ont l’autorité de pardonner, c’est-à-dire les apôtres et leurs successeurs (évêques et prêtres à qui cette autorité est conférée). Et voici la belle promesse du Christ aux pécheurs :

Si une âme ressemblait à un cadavre en décomposition, de sorte que, d’un point de vue humain, il n’y aurait pas d’espoir de restauration et que tout serait déjà perdu, il n’en est pas ainsi avec Dieu. Le miracle de la Miséricorde Divine restaure cette âme en entier. Oh, comme sont misérables ceux qui ne profitent pas du miracle de la miséricorde de Dieu ! —La miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1448

« … ceux qui se confessent fréquemment, et le font avec le désir de progresser » remarqueront les progrès qu’ils font dans leur vie spirituelle. Ce serait une illusion de rechercher la sainteté, selon la vocation que l’on a reçue de Dieu, sans prendre fréquemment part à ce sacrement de conversion et de réconciliation. —PAPE JEAN-PAUL II, CONFÉRENCE PÉNITENTIAIRE APOSTOLIQUE, 27 mars 2004; catholicculture.org

Qui, alors, est exclu de la sécurité de ce Grand Port pendant la purification de la terre qui doit venir ?[11] Pas d’âme! Pas d’âme! … aucune âme, sauf celle qui refuse de recevoir et de faire confiance à Sa grande Miséricorde et à Son pardon.

Ne pouvez-vous pas percevoir tout autour de vous la Grande Tempête dans laquelle l’humanité est entrée ?[12] Alors que la terre tremble, ne voyez-vous pas que nos conditions actuelles de découragement, de peur, de doute et de dureté de cœur doivent également être ébranlées ? Pouvez-vous voir que votre vie est comme un brin d’herbe qui est ici aujourd’hui mais qui a disparu demain? Alors entrez rapidement dans ce refuge sûr, le Grand Refuge de Sa Miséricorde, où vous serez à l’abri de la plus dangereuse des vagues qui vont venir dans cette tempête: un tsunami de tromperie[13] qui balayera tous ceux qui sont tombés amoureux du monde et de leur péché et qui préfèrent adorer leurs biens et leur ventre que le Dieu qui les aime, ceux « qui n’ont pas cru à la vérité, mais ont approuvé le mal » (2 Thess 2:12). Que rien, rien, ne vous empêche aujourd’hui de crier du fond du cœur : « Jésus, j’ai confiance en toi ! »

Le soleil sera tourné vers les ténèbres et la lune vers le sang, avant la venue du grand et splendide jour du Seigneur, et ce sera que sera sauvé tous ceux qui invoquent le nom du Seigneur. (Actes 2:20-21)

Ouvrez donc les voiles de la confiance et laissez les vents de Sa Miséricorde vous ramener chez Lui vers Son Père… votre Père qui t’aime d’un amour éternel. Comme un ami l’a écrit récemment dans une lettre : « Je pense que nous avons oublié que nous n’avons pas à chercher le bonheur ; nous avons juste besoin de ramper sur ses genoux et de le laisser nous aimer.

Car l’Amour nous a déjà cherchés…

Traduction automatique

Source : Le Grand Refuge et Safe Harbour – Le mot maintenant (markmallett.com)

Notes

1voir Je ne suis pas digne
↑2cf. Marc 4:35-41
↑3cf. Confession Passé?
↑4voir L’Âme paralysée
↑5voir A Miracle of Mercy
↑6voir The Rocky HeartLa neuvaine de l’abandon
↑7voir À ceux qui sont dans le péché mortel
↑8voir Une lettre de chagrin
↑9voir Le Tigre dans la cage
↑10cf. Luc 23:42
↑11voir La Grande Purification
↑12voir Êtes-vous prêt?
↑13voir The Coming Counterfeit

Laisser un commentaire

%d