Extraits de « DIVINS APPELS »

Travail intérieur de Dieu dans l’âme

Appel du Maître

Oui, c’est ainsi que J’atteindrai le Monde, non pas parce que J’enverrai plus de maladies, mais parce que Je veux utiliser magnifiquement celles que J’envoie.

Le corps est si souvent, si lamentablement occasion de fautes, en ces siècles de fange. Il faut que le corps, en ces mêmes siècles, le corps travaillé par la maladie, soit occasion de conversion, pour les uns, de sanctification plus grande pour les autres, et pour quelques-uns, le point de départ d’une sainteté très haute.

Mais qui donc viendra à mon appel pour faire ce que Je veux, ce dont Je brûle, et que Je ne puis (au sens de : veux pouvoir) faire Moi-même ?

On objectera qu’on peut être dévoué sans être intérieur. Mais croit-on que si les âmes qui se dévouent déjà avec une ardeur admirable et une ampleur de vues qui les rendent si aptes à Me suivre, croit-on que si elles étaient venues à mon appel de vie intérieure, croit-on qu’elles ne feraient pas œuvre mille fois plus fructueuses encore ?

Que l’on soit bien attentif en face de ce programme.

Lorsqu’on veut verser le contenu d’un récipient dans un autre, il faut en adapter absolument les bords : que ce soit hermétique, pour que rien ne s’échappe.

Que l’on s’adapte donc bien à mon Plan divin…

Lorsqu’on parle du désir ardent que J’ai d’embraser la terre, de sanctifier les âmes, ce n’est pas un vain mot !

Cette action pleine et surabondante de Moi sur les âmes n’est pas un mythe et ne l’a jamais été.

Est-il étonnant qu’au fur et à mesure que les siècles s’avancent, la nécessité d’appeler les âmes à la vie intérieure se fasse de plus en plus impérieuse ?

Qu’elles répondent donc à mon appel !

Mais, il faut qu’elles le veuillent, car, on le sait, JE LES AI FAITES LIBRES…

 

Extraits de « Divins Appels » aux Ed. du Parvis