ASDE 56 Axelle

Remerciez-vous Dieu chaque jour

pour le don de la vie ?

Axelle, messagère de Jésus

10 février 2002

La vie est un don de Dieu, il vous faut d’abord et encore l’accueillir.

La vie est promesse d’éternité pour celui qui l’entend !

La vie est offrande, don pour celui qui s’unit à la volonté sainte de Dieu qui dispose que la vie doit circuler, se transmettre, s’épanouir car la vie est vie et qu’elle ne peut se limiter, ni s’arrêter sous peine de mourir.

Alors je vous demande : Remerciez-vous Dieu chaque jour pour le don de la vie, si précieux… ?


L’essentiel n’est pas le texte

mais bien ma Parole !

Lundi 11 février 2002

Am sha la ouen, A lam sham sha ni, Am sha ni chem

Bel ek al armen, Blum bilam hala em’sha shaouen !

Ne crains-pas, livre-toi ! Ne te regarde pas, contemple-moi !

Peu à peu ton cœur ressent le malaise profond qui habite le cœur de tant de mes prêtres. La vérité de ma foi ne brille plus toujours en leur cœur comme un astre radieux qui attire leur volonté et réchauffe leur parole.

Ma vérité n’est plus le phare qui éclaire… Ils se laissent attirer par d’autres lumières qu’ils cherchent à accommoder au regard de ma Parole, au gré de nouvelles traductions ou de rééditions…

Ma Parole vit en-deçà et au-delà du mot. Qu’on se le dise, et qu’on s’incline en mes sanctuaires car Je suis le Verbe de Dieu.

Et nul ne peut se prétendre des miens qui cherche à trafiquer mon Evangile pour l’adapter au goût de la pensée du jour ! Jeu puéril et jeu dangereux, qui mène tant de cœurs à la perdition.

La loi, ma moi, est loi d’amour, mais elle reste loi et ma justice sanctionne tout particulièrement ceux qui la trafiquent ou l’affadissent. Or, mes pasteurs sont dans le flou à force de réflexion humaine, d’exégèse, de théologie ou de philosophie…

Je rappelle que le texte écrit est un support du verbe. Au-delà des « imperfections » de traduction, l’essentiel n’est pas le texte mais bien ma Parole et le message qu’elle délivre. Il n’y a pas des vérités mais une. Mon Esprit Saint seul éclaire, pour l’âme qui l’implore, la direction, le sens que ma Parole implique. Nul ne peut le saisir dans son entièreté, mais sans cesse dans un nouveau regard, elle peut être approchée… par un cœur embrasé.

Celui qui prend ma Parole, sans impliquer son cœur, commet un péché. Je demande un cœur humble et une intelligence ouverte à mon enseignement pour me communiquer. Et celui qui m’aborde avec un intellect revanchard et plein d’a priori, celui qui vient à ma Parole pour prouver aux générations passées et à la face du monde leur manque d’érudition qui ne se tourne pas vers moi.

Rappelez-vous, enfants chéris, que tant de générations ont vu se lever des saints qui brillent dans mon ciel divin ! Je suis le Verbe – ma Parole, je vous la livre afin que vous la reconnaissiez comme la Vérité. Venez à moi avec un cœur ouvert et priez l’Esprit Saint d’éclairer ce qui vous semble obscur ! Ne vous perdez pas sur des sentiers sans lumière !

Certains font cependant aujourd’hui encore une très belle œuvre de traduction, s’appropriant ma Parole sous ma lumière, dans un approfondissement savant… Mais des loups rôdent qui me dévorent et déchiquettent ma Parole pour en dénaturer et en pervertir la compréhension.

Sachez donc que ma Parole est Vérité et qu’elle existe au-delà des mots. C’est son Esprit qui vous nourrit. Toute parole reçue par un cœur ouvert porte du fruit en son temps… Ouvrez donc vos cœurs et n’ayez crainte : je vous instruis, demandez ma lumière, j’en emplirai vos cœurs.

Jésus, Verbe de Dieu qui enseigne.

Va, petite aimée, poursuis ta journée. Ne t’inquiète pas, enfant. Par ces discours je te prépare à affronter ce monde impie et sans pitié. Je te montre les points où l’homme de ce temps s’enlise. L’utilité de mes avertissements est très grande, certains les recevront, ils comprendront leur erreur, ils reviendront.


Pour mes fils prêtres : aimer chacun sans le condamner mais baliser la route !

11 février 2002

Pour mes fils prêtres, je demande qu’ils prient l’Esprit Saint avant de préparer leurs homélies. Qu’ils lisent ma Parole avant d’aller lire ses commentaires… Je veux souffler à leurs cœurs ce qu’il faut dire. Qu’ils se tournent vers moi car je suis las de ces homélies ternes et « bien tournées » qui n’osent pas « choquer » et ne veulent pas déclarer ma Vérité !

Mes pasteurs doivent mener les troupeaux sur mon chemin. Ils doivent aimer chacun sans jamais le condamner ; OUI ! Ils doivent compatir à toutes les détresses et ne jamais juger tous ceux qui sont empêtrés dans tous les dédales de la vie moderne : les divorcés, ceux qui vivent dans l’adultère, ceux qui ont des liaisons contre nature, ceux pour qui le vin, la drogue ou la télé… sont des idoles chéries : OUI ! Il faut d’abord et avant tout aimer.

Mais ils doivent sans cesse, comme le fait mon fils, le pape Jean-Paul, rappeler les vérités de la foi. Aimer mais baliser la route : montrer ma lumière, exposer ses exigences. Chacun doit pouvoir entendre la vérité, chacun doit connaître mes commandements car si le pasteur ne conduit pas, si le pasteur ne rassemble pas, si le pasteur ne croit pas ou ne croit plus à toute la vérité que j’ai révélée et que l’Eglise enseigne, il est en vérité responsable de ce que ses brebis se perdent.

Qu’il aime chacun mais qu’il reste avant tout serviteur de son Maître !

Qu’il accomplisse sa mission sans affadir ma Parole !

Qu’il me fasse confiance et m’aime par-dessus tout !

Qu’il cesse de cultiver humainement ses relations dans sa paroisse !

J’attends de mes prêtres qu’ils accueillent mon feu qui purifie.

J’entends qu’ils me demandent pardon de leurs manques de foi.

J’attends qu’ils se placent devant le catéchisme, qu’ils l’étudient et qu’ils l’enseignent.

Il est plus que temps que mes prêtres s’éveillent et se fassent serviteurs plutôt que juges de leur Maître. Ce temps ultime leur est donné afin qu’ils me choisissent et se décident. Comme Satan est fort pour les illusionner !

Revenez, mes enfants, car je suis mort pour vous.


Du désordre du monde et de la liberté

Mercredi 20 février 2002

Veux-tu me dire oui ? Oui pour tout et en tout ?

« Oui ! » Oui, j’ai confiance en toi et en tout, pour tout !

Prends ton crayon et note :

Elem shelem el ven y tem Al rik al tulimbra,

Elem ven ou Am sha la Ouen.

Viens, enfant, je veux te parler du péché et du désordre du monde : du péché et de la liberté ! Le désordre du monde, la souffrance et tous les « malheurs » expriment clairement que loin d’accomplir la volonté de Dieu, loin de respecter ses commandements, l’homme s’enferre dans de mauvaises attitudes qui l’éloignent de ce bonheur que Dieu veut accorder à l’homme déjà sur cette terre.

Ce soir je veux redire combien chaque souffrance encore aujourd’hui me crucifie. Oh non ! Dieu ne veut pas le mal ! Dieu vous aime, Dieu souffre avec chacun de vous. Dieu donne tout en surabondance : la vie et tous biens : du soleil à la pluie, des plantes qui sortent tout juste de terre jusqu’aux fruits savoureux ! Dieu prend soin de ses enfants !

Je suis le Dieu de la Promesse et de l’Alliance mais je limite ma toute-puissance à la liberté de l’homme à qui j’ai confié toute la création et le devenir du monde.

Les 4 textes sont extraits de « Aime les tous »

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