Mon image de Dieu

Jour 13

26 mai 2023

NOUS ne sommes pas abandonnés. Nous ne sommes pas orphelins…

Commençons le Jour 13 : Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, amen.

Viens, Esprit Saint, Consolateur Divin, et remplis-moi de Ta présence. Plus encore, remplissez-moi d’une confiance que même lorsque je ne peux pas sentir mon Dieu comme je le souhaite, même lorsque je ne peux pas entendre Sa propre voix, même quand je ne peux pas voir Son visage avec mes yeux, je L’aimerai encore de toutes les manières dont Il vient à moi. Oui, venez à moi dans ma faiblesse. Augmente ma foi et purifie mon cœur, car « Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu ». Je demande cela par Jésus-Christ mon Seigneur, amen.

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C’était une nuit d’hiver orageuse ce soir-là dans le New Hampshire. Je devais donner une mission paroissiale, mais il neigeait fort. J’ai dit au curé que s’il avait besoin d’annuler, je comprenais. « Non, nous devons continuer, même si une seule âme vient. » J’ai accepté.

Onze personnes ont résisté au blizzard. Le père a commencé la nuit en exposant le Saint-Sacrement sur l’autel. Je me suis agenouillé et j’ai commencé à gratter tranquillement ma guitare. J’ai senti le Seigneur dire dans mon cœur que quelqu’un là-bas ne croyait pas en Sa Présence Réelle sur l’autel. Soudain, des mots m’ont surgi à l’esprit et j’ai commencé à les chanter :

Mystère sur mystère
Bougies brûlantes, mon âme désirant Toi

Tu es le grain de blé pour nous Tes agneaux pour manger
Jésus, te voilà…

Je chantais littéralement une ligne et la suivante était juste là :

Sous le déguisement du Pain, c’est exactement comme Tu as dit
Jésus, Tu es là…

Quand la chanson s’est terminée, j’ai pu entendre quelqu’un pleurer dans le petit rassemblement. Je savais que l’Esprit était à l’œuvre et j’avais juste besoin de m’écarter du chemin. J’ai donné un bref message et nous sommes retournés adorer Jésus dans la Sainte Eucharistie.

À la fin de la soirée, j’ai vu un petit rassemblement au milieu de l’allée et je suis allé. Debout il y avait une femme d’âge moyen, les larmes coulant sur son visage. Elle m’a regardé et m’a dit : « 20 ans de thérapie, 20 ans de cassettes et de livres d’auto-assistance… mais ce soir, j’ai été guéri.

Quand je suis rentré chez moi au Canada, j’ai enregistré cette chanson, que nous pouvons intégrer à notre prière d’ouverture aujourd’hui…

Tiens

Mystère sur mystère
Bougies brûlantes, mon âme désirant Toi

Tu es le grain de blé, pour nous Tes agneaux à manger
Jésus, te voici
Dans le déguisement du pain, c’est comme tu l’as dit
Jésus, ici Tu es

un lieu saint, rencontrant face à face
Encens brûlant, nos cœurs brûlant pour Toi

Tu es le grain de blé, pour nous Tes agneaux à manger
Jésus, ici Tu es Dans le déguisement de Pain, c’est comme Tu as dit
Jésus, te voici
Je suis à genoux en ce moment, parce que Tu es
ici en quelque sorte
Jésus, ici Tu es Me voici, comme je suis
Je crois Seigneur, aide mon incrédulité

Tu es le grain de blé, pour nous Tes agneaux à manger
Jésus, te voici
Dans le déguisement du pain, c’est comme Tu as dit
Jésus, tu es ici

Je suis à genoux en ce moment, parce que Tu es ici en quelque sorte
Jésus, ici Tu es Les anges ils sont ici, saints et anges ils sont ici Jésus, ici Tu es Jésus, ici
Tu es Saint, Saint, Saint
Te voilà,
Tu es le Pain de la vie

—Mark Mallett, de Here You Are, 2013©

Le toucher guérisseur

Jésus a promis avant de monter au ciel qu’il resterait avec nous jusqu’à la fin des temps.

Je suis avec vous tous les jours, même jusqu’à la consommation du monde. (Matthieu 28, 20)

Il le pensait littéralement.

Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel ; quiconque mange ce pain vivra éternellement ; et le pain que je donnerai est ma chair pour la vie du monde… Car ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson. (Jean 6, 51-55)

Lorsque le règne brutal du dictateur roumain Nicolae Ceaucescu s’est effondré en 1989, des photos de milliers d’enfants et de bébés dans des orphelinats d’État sont apparues dans les médias occidentaux. Les infirmières étaient submergées par le nombre d’enfants, confinées dans des berceaux en métal, et changeaient les couches comme une chaîne de montage. Ils ne roucoulaient pas et ne chantaient pas pour les bébés; Ils ont simplement collé des bouteilles dans leur bouche et les ont ensuite appuyées contre les barreaux de leur berceau. Les infirmières ont déclaré que de nombreux bébés mouraient sans raison apparente. Comme ils l’ont découvert plus tard, c’était dû à un manque d’affection physique aimante.

Jésus savait que nous aurions besoin de le voir et de le toucher. Il nous a laissé un don très beau et très humble de sa présence dans la Sainte Eucharistie. Il est là, déguisé en pain, là, vivant, aimant et palpitant de miséricorde envers vous. Alors pourquoi ne nous approchons-nous pas de Lui, qui est le Grand Médecin et Guérisseur, aussi souvent que nous le pouvons ?

Pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts ? Il n’est pas ici, mais il a été élevé. (Luc 24:5-6)

Oui, certains Le cherchent littéralement parmi les morts – la parole morte des thérapeutes égocentriques, de la psychologie pop et des pratiques du nouvel âge. Allez à Jésus qui vous attend ; le chercher dans la Sainte Messe ; cherchez-le en adoration… et vous le trouverez.

Avant d’entrer dans Sa Passion, Jésus a pensé à toi et à moi, et a prié : « Père, ils sont ton don pour Moi. » ^[1] Imaginez! Vous êtes le don du Père à Jésus ! En retour, Jésus se donne à vous à chaque messe.

Le Seigneur a commencé une grande œuvre en beaucoup d’entre vous, et ces grâces continueront à travers la Sainte Messe. Pour votre part, cultivez l’amour et la révérence pour Jésus dans l’Eucharistie. Faites de votre génuflexion un véritable acte d’adoration ; préparez votre cœur à le recevoir dans la Sainte Communion ; et passez quelques minutes après la messe à l’aimer et à le remercier de vous aimer.

C’est Jésus dans cette armée. Comment cela ne peut-il pas vous changer? La réponse est que ce ne sera pas le cas – à moins que vous ne Lui ouvriez votre cœur et que Vous Le laissiez vous aimer, comme vous L’aimez en retour.

La voix guérisseuse

J’ai lu une fois un psychologue dire que, bien qu’il ne soit pas catholique, ce que l’Église offrait par la confession était vraiment ce qu’il essayait de faire dans sa pratique : laisser les gens se décharger de leur conscience troublée. Cela seul a commencé un grand processus de guérison chez beaucoup.

Dans un autre article, j’ai lu un policier dire qu’il laissera souvent les dossiers des « affaires non résolues » ouverts pendant des années parce que c’est un fait que les meurtriers finissent par dire à quelqu’un, à un moment donné, ce qu’ils ont fait – même s’ils sont obscurs. Oui, il y a quelque chose dans le cœur humain qui ne peut pas supporter le fardeau de son péché.

Jésus, le Grand Psychologue, le savait. C’est pourquoi il nous a laissé l’incroyable sacrement de la réconciliation par le sacerdoce :

Il souffla sur eux et leur dit : « Recevez le Saint-Esprit. Ceux dont vous pardonnez les péchés leur sont pardonnés, et ceux dont vous conservez les péchés sont conservés. (Jean 20, 22-23)

Par conséquent, confessez-vous vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. (Jacques 5, 16)

Pour que vous soyez guéri. Un exorciste m’a dit un jour : « Une bonne confession est plus puissante que cent exorcismes. » En effet, j’ai fait l’expérience de la puissance libératrice de Jésus des esprits oppressifs à tant d’occasions par la confession. Sa Miséricorde Divine n’épargne rien au cœur contrit :

Si une âme ressemblait à un cadavre en décomposition, de sorte que, d’un point de vue humain, il n’y aurait pas d’espoir de restauration et que tout serait déjà perdu, il n’en est pas ainsi avec Dieu. Le miracle de la Miséricorde Divine restaure cette âme en entier. Oh, comme sont misérables ceux qui ne profitent pas du miracle de la miséricorde de Dieu ! —La miséricorde divine dans mon âme, Journal, n. 1448

Il est donc nécessaire – puisque le Christ l’a instituée lui-même – que nous fassions de la confession une partie régulière de notre vie.

« … ceux qui se confessent fréquemment, et le font avec le désir de progresser » remarqueront les progrès qu’ils font dans leur vie spirituelle. Ce serait une illusion de rechercher la sainteté, selon la vocation que l’on a reçue de Dieu, sans prendre fréquemment part à ce sacrement de conversion et de réconciliation. —PAPE JEAN-PAUL II, CONFÉRENCE PÉNITENTIAIRE APOSTOLIQUE, 27 mars 2004; catholicculture.org

Le Catéchisme de l’Église catholique ajoute :

Sans être strictement nécessaire, la confession des fautes quotidiennes (péchés véniels) est néanmoins fortement recommandée par l’Église. En effet, la confession régulière de nos péchés véniels nous aide à former notre conscience, à lutter contre les mauvaises tendances, à nous laisser guérir par le Christ et à progresser dans la vie de l’Esprit. En recevant plus fréquemment par ce sacrement le don de la miséricorde du Père, nous sommes poussés à être miséricordieux comme il est miséricordieux…

La confession individuelle intégrale et l’absolution restent la seule voie ordinaire pour les fidèles de se réconcilier avec Dieu et l’Église, à moins que l’impossibilité physique ou morale ne dispense de ce genre de confession. Il y a des raisons profondes à cela. Le Christ est à l’œuvre dans chacun des sacrements. Il s’adresse personnellement à chaque pécheur : « Mon fils, tes péchés sont pardonnés. » Il est le médecin qui soigne chacun des malades qui ont besoin de lui pour les guérir. Il les élève et les réintègre dans la communion fraternelle. La confession personnelle est donc la forme la plus expressive de la réconciliation avec Dieu et avec l’Église. —Catéchisme de l’Église catholique (CEC), n. 1458, 1484

Mon cher frère en Christ, si vous voulez être guéris et fortifiés en ces jours de bataille, alors tendez la main fréquemment et « touchez » Jésus dans l’Eucharistie afin que vous vous souveniez que vous n’êtes pas orphelins. Si vous êtes tombé et que vous vous sentez abandonné, écoutez sa voix apaisante à travers son serviteur, le prêtre : « Je vous absous de vos péchés… »

Ainsi, dans les sacrements, le Christ continue de nous « toucher » pour nous guérir. (CCC, n. 1504)

Quels dons Jésus nous a laissés: son moi même, son assurance miséricordieuse afin que vous restiez en lui, comme il reste en vous.

Je suis la vigne, vous êtes les sarments. Celui qui reste en moi et moi en lui portera beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. (Jean 15, 5)

Prenez un moment pour écrire dans votre journal ce que vous avez sur le cœur… Une prière d’action de grâce, une question, un doute… et donnez de l’espace à Jésus pour parler à votre cœur. Et puis terminez avec cette prière…

Reste en moi

Jésus J’ai besoin de Toi ici en moi maintenant Jésus J’ai besoin de Toi ici en moi maintenant Jésus J’ai
besoin de Toi ici en moi maintenant

Reste en moi pour que je reste en moi pour que je demeure en Toi Remplis-moi maintenant
de ton Saint-Esprit, Seigneur
Reste en moi pour que je reste en Toi

Jésus, je crois que Tu es ici en moi maintenant
Jésus je crois que tu es ici en moi maintenant Et Jésus je crois, ô tu es ici en moi maintenant

Reste en moi pour que je reste Tu
demeures en moi afin que je demeure en Toi O, remplis-moi maintenant de ton Saint-Esprit, Seigneur
reste en moi pour que je reste en Toi

Reste en moi pour que je reste Tu
demeures en moi afin que je demeure en Toi O, remplis-moi maintenant de ton Saint-Esprit, Seigneur
reste en moi pour que je reste en Toi

—Mark Mallett, extrait de Let the Lord Know, 2005©

Traduction automatique

Source : Jour 13 : Son toucher et sa voix de guérison – La Parole Maintenant (markmallett.com)

Notes